Qu’il s’agisse des transports, de la santé, de l’habitat ou autres, dans l’Algérie de 2015, 53 ans après le recouvrement de l’indépendance nationale, nos ministres et autres responsables semblent dans l’incapacité de pouvoir juguler les crises caractérisant leur secteur.
Face à des populations de plus en plus dans le marasme exigeant de meilleures conditions de vie, le gouvernement opte pour une solution «miracle» : promettre et encore. «Prochainement» est le terme qui revient le plus souvent dans les discours prononcés ici et là par ces mêmes ministres. Ainsi, les malades, les chômeurs et autres cas sociaux devront faire preuve de patience en attendant que ces projets voient enfin le jour dans on ne sait dans combien de temps. Loin d’être une réalité palpable, autant de projets et de textes demeurent au stade de «promesses».
F. H.
