Prise en charge médicale des éléments de la sûreté nationale : Le général-major Hamel à l’écoute des policiers

Prise en charge médicale des éléments de la sûreté nationale : Le général-major Hamel à l’écoute des policiers

Le directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, a insisté hier sur l’importance de la bonne prise en charge médicale des éléments de la Sûreté nationale. Lors d’une visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée à Alger, le directeur général de la Sûreté nationale a eu à inaugurer de nouvelles unités médicales destinées à la prise en charge des agents assimilés de la sûreté, les retraités ainsi que les ayants droit de ce corps.

Abdelghani Hamel a débuté sa visite par le Centre médical de la police nationale Omar-Haraig (ex-villa-Magnan) où il a eu à contrôler les différentes salles de soins ainsi que les équipements médicaux à la pointe de la technologie, dernièrement acquis par la Dgsn pour différentes spécialités comme le matériel de la mamographie, l’échographie ou encore celui destiné pour le traitement des nerfs, les os et les maladies respiratoires. A cette occasion, le premier patron de la police a tenu à souligner que ces nouveaux centres médicaux ainsi que leurs équipements constituent un important acquis pour la corporation médicale de la Dgsn.

Il n’a pas manqué d’insister sur «la nécessité du professionnalisme dans le traitement des dossiers des malades qui sont aujourd’hui, dans leur totalité, numérisés».

Pour rappel, la direction générale de la Sûreté nationale ne ménage aucun effort pour être au chevet de ses 209 000 personnels, à travers les quatre coins du pays. Les orientations du général-major Abdelghani Hamel, se dirigent, aussi, depuis 2010, en grande partie, vers le volet de la santé qui a connu, de l’avis des policiers, une importante évolution en termes de prise en charge des hommes à la tunique bleue, comme en témoignent les acquis obtenus sur ce registre. D’ailleurs, la prise en charge médicale à l’adresse des personnels de police et leurs ayants droit a même été renforcée par des transferts à l’étranger pour des soins spécialisés.