affrontements, survenus dimanche matin à Tizi-Ouzou, entre jeunes et forces de l’ordre, suite à l’empêchement par la police d’une marche « non autorisée » à laquelle a appelé le Mouvement culturel berbère (MCB) pour la célébration du 34e anniversaire du « Printemps berbère », se poursuivent toujours à l’heure où nous mettons en ligne.
Les affrontements, auparavant essentiellement localisés au niveau de l’espace mitoyen au campus universitaire Hasnaoaua et la placette du stade du 1er novembre, se sont étendus à la place de la « Tour » et à la Rue Krim-Belkacem de la Nouvelle-ville, où les forces de l’ordre usaient de bombes lacrymogènes pour disperser les jeunes manifestants qui lançaient des pierres et autres projectiles.
La manifestation a été infiltrée par les éléments du « Mouvement pour l’autonomie de la Kabyle » (MAK-non agréé) qui sont pour la plus part impliqués dans ces affrontements avec les forces de l’ordre.
