De retour des Lieux saints de l’Islam, Serrar s’est penché directement sur le problème numéro un de son équipe et qui a failli provoquer une implosion, du moment que des joueurs, qui réclamaient leur dû, ont refusé de s’entraîner.
Après avoir réussi à calmer quelque peu la situation en payant une partie des arriérés des grévistes, en leur promettant de tout régler dès son retour au pays, le président de l’Entente se retrouve aujourd’hui dans l’obligation de tenir sa promesse pour pouvoir au moins garder ses joueurs au mercato, particulièrement les plus convoités d’entre eux. Mais comme les caisses du club sont vides, Serrar devra s’endetter, et lourdement, en attendant des jours meilleurs.
A en croire une source bien informée, Serrar aurait appelé Ali Haddad, qui est un ami à lui, pour lui demander un emprunt de cinq milliards. Une somme qui va lui permettre de payer, entre autres, Metref et Laïfaoui, deux joueurs que l’USMA convoite. En plus clair, c’est avec l’argent de Haddad que Serrar compte garder les joueurs que l’USMA souhaite acheter. Celle-là, même Djeha n’y aurait pas pensé.