Pour Charef, tout ce qui n’est pas allemand n’est pas bon

Pour Charef, tout ce qui n’est pas allemand n’est pas bon

Tatem en a eu d’ailleurs plein le popotin de se faire traiter comme tel et a plié bagage.

Boualem Charef a tendance à traiter ses joueurs de bourricots et autres noms vernaculaires qu’on a tendance à donner aux mammifères quadrupèdes. Tatem en a eu d’ailleurs plein le popotin de se faire traiter comme tel et a plié bagage. Mais il doit quand même se rassurer de ne pas être le seul dans ce cas, puisque Boualem Charef a transformé le vestiaire de l’USMH en écurie, ceci si l’on veut rester gentils. Charef, qui s’est formé en Allemagne, s’est mis dans la tête que tout ce qui n’est pas allemand, symbole de professionnalisme, n’est pas bon. Du coup, tous les joueurs sont des bourricots à ses yeux.