Les éleveurs, transformateurs et collecteurs qui s’attendaient à voir la question du prix du lait cru résolue ne serait-ce que temporairement sont restés sur leur faim à l’issue du deuxième round de négociations qui s’est tenu hier dans les locaux de l’Office interprofessionnel du lait (Onil), sis à Boufarik (Blida).
H. M.