L’herboristerie est de plus en plus utilisée, pas seulement pour calmer des petits bobos, mais aussi pour soigner des maladies chroniques jusque- là traitées par des thérapies conventionnelles.
L’herboristerie est de plus en plus utilisée, pas seulement pour calmer des petits bobos, mais aussi pour soigner des maladies chroniques jusque- là traitées par des thérapies conventionnelles.
En effet, les plantes médicinales
«revigorées» jour après jour font une entrée triomphale dans notre société, suscitant un grand engouement chez les diabétiques qui optent désormais pour la médecine douce afin de réduire ou maintenir leur glycémie au plus bas taux, et parfois même éviter les effets indésirables des produits pharmaceutiques.
Aujourd’hui, avec la percée de l’industrie du traitement par les plantes, caractérisée par l’ouverture de plus en plus de magasins spécialisés dans ce créneau, l’on assiste à une nouvelle donne qui vient réhabiliter, à coup sûr, le savoir-faire de nos ancêtres, à l’origine du développement de l’option verte chez certains diabétiques, notamment ceux du type 2, pour se tourner carrément vers les vertus de la nature pour se soigner.
Il faut dire que les locaux exigües dédiés à toutes les variétés de plantes médicinales, transformées en poudre, en pilules et autres formes, viennent répondre aux besoins de cette population qui ne cache pas son penchant pour tout ce qui provient de dame nature, «domestiqué» pour venir à bout de leur problème de santé.
Des remèdes, en fait, fabriqués à base de certaines plantes considérées comme «anti-diabétiques», sont très sollicités par les diabétiques.
ces produits ont comme propriétés d’aider l’organisme à gérer les pics ou les chutes de glycémie. Connus pour leur effet régulateur, l’ail, l’oignon, les graines de fenugrec, l’eucalyptus et bien d’autres sont présents dans ces magasins, sous des formes multiples, faisant le bonheur des amateurs de cette médecine.
à vrai dire, les recettes d’herboristes cumulent toutes sortes de plantes aux vertus régulatrices.
Certaines sont même conseillées pour la catégorie en situation de pré-diabète ou comme complément à un traitement médical.
Aujourd’hui, ces produits, certes, qui ne peuvent aucunement remplacer le traitement classique, viennent au secours de nombreux malades diabétiques intéressés par les soins alternatifs qui n’hésitent point à demander conseil à l’herboriste.