Les interventions chirurgicales sont de moins en moins programmées à l’hôpital Bachir-Mentouri de Kouba, ces dernières semaines. Ce n’est pas faute de personnel médical et encore moins de patients candidats au billard.
Les opérations se font rares pour cause de pénurie d’anesthésie, laquelle s’est fait ressentir dans nombre d’autres hôpitaux de la capitale et d’ailleurs.
Aussi, ces trois derniers mois, seulement une dizaine d’interventions a été effectuée, ce qui est loin du rythme habituel qui comptait une douzaine d’interventions par jour.
