Hier, lors de sa rencontre avec les représentants de la presse nationale, Belaïd Abdelaziz, président du Front El-Moustakbal, engagé dans la bataille électorale pour les législatives, a été interpellé sur la propension des chancelleries étrangères, particulièrement représentant les pays occidentaux, à approcher les partis politiques pour s’informer sur le scrutin.
L’homme a affirmé qu’il n’a été, à aucun moment, sollicité par une quelconque ambassade. “Je ne suis pas intéressé par ce type de démarches”, a-t-il répondu, en précisant que lui imputer une telle initiative relèverait de l’allégation.
Il a démenti tout aussi bien avoir accordé une interview à un journal marocain, tel que rapporté. “Il y a assez de journaux algériens dans les colonnes desquels je peux m’exprimer. Pourquoi parler alors dans un média marocain ?” a-t-il soutenu.