Ouverte puis refermée à la circulation ce jeudi La trémie de la cité Emir Abdelkader présente-t-elle déjà des imperfections ?

Ouverte puis refermée à la circulation ce jeudi La trémie de la cité Emir Abdelkader présente-t-elle déjà des imperfections ?
ouverte-puis-refermee-a-la-circulation-ce-jeudi-la-tremie-de-la-cite-emir-abdelkader-presente-t-elle-deja-des-imperfections.jpg

Aussitôt mise en service partiellement en début d’après-midi ce mercredi (photo à l’appui), la trémie sise à la cité Emir Abdelkader (ex-Saint Hubert), a été refermée à la circulation le lendemain, mettant les usagers dans une situation inconfortable, à cause du retour à la case départ, c’est-à-dire l’encombrement dans la circulation.

En effet, la mise en service, même partielle de cet ouvrage d’art, a permis tout de même de fluidifier la circulation au niveau de ce rond-point, soulageant ainsi les usagers de la route.

Malheureusement, la joie des automobilistes n’a pas duré longtemps, puisque l’on apprend que l’ouvrage a été refermé, avant-hier jeudi, ce qui conduit à la réinstallation du climat de tension à cause de l’encombrement qui s’y produit, au niveau de ce segment du réseau routier de la capitale de l’Ouest. Est-ce à cause d’un problème ou une quelconque défaillance entachée à la réception de cet important ouvrage, que la trémie a été refermée à la circulation ? Par ailleurs, en l’absence d’explications sur les raisons ayant conduit les responsables concernés à fermer l’accès à cette trémie, d’aucuns s’interrogent sur les raisons réelles ayant motivé cette décision. Il convient de savoir à ce propos que la réception accélérée de cet ouvrage, dont la fonction première est de réguler le trafic routier, a été faite sur injonction du wali d’Oran, lors de sa première visite des chantiers oranais.

Le premier responsable de l’exécutif de la wilaya, qui avait constaté un retard flagrant dans la concrétisation du projet, avait, rappelle-t-on, donné des instructions fermes aux responsables concernés, pour activer la cadence du chantier en vue de livrer le projet, au moins à la fin du mois de décembre écoulé. Toutefois, tout porte à croire que les dernières précipitations ont fait apparaître des imperfections. Mais l’absence de communication de la part, à la fois du maître de l’œuvre et de celui de l’ouvrage, n’a pas permis de clarifier la situation, d’autant plus que les travaux de cette trémie ont accusé beaucoup de retard. Les désagréments causés aux usagers ont trop duré et le citoyen se sent dépité par des promesses non tenues des pouvoirs publics, quand il s’agit de la réception de projets dans les délais.

LG Algérie

Farah Hasni