Le non- ramassage des déchets ménagers et autres ordures quotidiennement engendre leur entassement durant plusieurs jours et par voie de conséquence la colère des riverains. Devant cette situation la solution idoine trouvée par les agents communaux de l’hygiène publique est celle de brûler in situ de ces déchets. Cette action remarquée de visu à travers les diverses agglomérations de la wilaya à savoir les cités Siced , Belaalmi, Haractas et 150 logements, route de Meskiana et autres à Aïn Beida, l’environnement immédiat de la polyclinique Sahbi Abdelhamid du chef- lieu de wilaya, Essatha, Aïn Fakroun,… n’a fait qu’accentuer la pollution de l’air et du cadre de vie des citoyens, déjà mis à rude épreuve !. De nombreuses cités résidentielles des agglomérations de la wilaya, notamment à Oum El Bouaghi subissent de plein fouet cette pollution quotidienne résultant de la présence de commerces à nuisance sonore de tôlerie et de soudure en sus de la pollution atmosphérique induite par les matériaux de construction. Ces commerces continuent d’activer dans des zones résidentielles sans qu’il y ait eu des enquêtes commodo et incommodo et ce en l’absence de contrôle pour ce type d’activité dans des lieux appropriés. qui n’engendreraient aucune gêne, ni désagrément pour le citoyen. Au chef- lieu de wilaya, tout le monde a constaté de visu le remplacement des grands bacs d’ordures qui parfois demeurent insuffisants pour contenir les déchets et poubelles des cités, par des bacs plus petits de moindre contenance. Cette situation a engendré l’entassement des ordures et toutes sortes de déchets à même le sol avec tout l’impact négatif sur l’environnement à savoir odeurs nauséabondes, moustiques. Cela étant, la périphérie des grandes agglomérations, et les forêts urbaines n’ont pas été épargnées par le dépôt de déchets particulièrement inertes résultant des travaux de construction, d’aménagement et autres, dont la quantité ne cesse de grandir de jour en jour.

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