Oubliés du rapatriement : des familles Algériennes bloquées en France

Oubliés du rapatriement : des familles Algériennes bloquées en France

Une vingtaine de ressortissants Algériens se trouvent actuellement bloqués au niveau de l’aéroport Charles De Gaulle, dans la capitale française Paris. Ces ressortissants, parmi eux des femmes, des personnes âgés et des enfants, ont été empêchés d’embarquer à bord des derniers vols d’Air Algérie, après leur venue de l’aéroport de Heathrow à Londres.

En effet, et comme cela est rapporté par plusieurs médias et confirmé par l’ex-député à l’immigration, Nourredine belmedah, pas moins de 21 ressortissants Algériens sont bloqués depuis 3 jours au niveau de l’aéroport Paris Charles De Gaulle, suite à la suspension des vols d’Air Algérie, pour ce mois de mars.

Des Algériens bloqués à Roissy Charles De Gaulle

Selon l’ex-député chargé de la communauté Algérienne établie à l’étranger, il s’agit au moins de 20 ressortissants Algériens, qui se trouvent depuis 3 jours bloqués au niveau de l’aéroport Français Roissy Charles De Gaulle. Ces ressortissants, parmi lesquels il y a des femmes, des enfants et des personnes âgées, sont venus rejoindre l’Algérie depuis l’aéroport de Heathrow, au royaume uni, en passant par l’aéroport de Roissy.

Arrivés en France, ces ressortissants Algériens, en provenance de Londres, ont été empêchés de monter à bord des avions d’Air Algérie, et ce malgré le fait qu’ils disposaient des précieux billets d’avion qui leur permettaient de revenir au pays. L’ex-député précise que ces familles Algériennes, dorment à même le sol de l’aéroport Français.

Malgré la dissolution de l’APN, l’ex-député avait affirmé qu’il a pu intervenir en tant que simple citoyen, afin d’informer le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, de la situation de ces familles Algériennes infortunées, et de lui demander de les autoriser à rejoindre le pays, et d’y passer une période de quarantaine, au niveau d’un hôtel à Alger.

Le député avait également proposé de faire subir à ces ressortissants des tests PCR, afin d’éloigner tout risque lié au nouveau coronavirus et à son variant britannique.