Le wali d’Alger Abdelkader Zoukh fait, depuis quelque temps, profil bas.
Lui qui mobilisait les médias lourds, publics et privés, pour des sorties quasiment hebdomadaires semble préférer, cette fois-ci, le travail à partir de son bureau. Il est vrai que depuis le 22 février dernier, le bruit de la rue fait peur.