L’agriculture algérienne est dans un état peu reluisant, et la terre qui en est le support est maltraitée à souhait. On en a compris les dégâts à travers l’interview et le point de vue d’un fermier.
Nous n’avons pu accéder aux services administratifs de tutelle, mais ce que l’on peut dire c’est que ceux-ci ont fait des tas de plans qui n’ont rien engendré de probant sur le terrain. Ceci, en dépit de ressources financières dégagées et que l’on dit colossales.
Il reste qu’un optimisme raisonné est de mise quant à une possible relance de l’agriculture, mais cela exige, de l’avis des spécialistes et hommes de terrain que nous avons rencontrés, une refonte profonde de la démarche
et de l’intérêt accordés à ce secteur vital de l’économie nationale. Les agriculteurs se disent prêts à jouer le jeu, pour peu que les pouvoirs publics leur prêtent les moyens et l’attention nécessaires.
R. S-A.