M. Sellal a vigoureusement critiqué la prestation du secteur des nouvelles technologies de l’information et de la communication en Algérie. Selon lui, ce secteur est en panne et cette situation est à l’origine du grand retard enregistré dans les autres domaines.
Le Premier ministre a regretté le ralentissement fatal observé dans ce secteur : «On n’arrive pas toujours pas à développer le secteur des NTIC et à lancer les start-up qui vont nous permettre de faire démarrer le pays», a-t-il dit avec regret. «C’est la même chose pour la technologie de troisième génération (3G). Les pays sont à la 5G et nous, nous n’avons même pas réussi à introduire la 3G».
N. B.
