Nouvelles villes, cités futuristes d’une Algérie moderne !

Nouvelles villes, cités futuristes d’une Algérie moderne !
A la fin des années 70, l’Algérie commençait déjà  à connaitre sérieusement une crise du logement dans les grands centres urbains.les villes étaient presque pleines à craquer à cause de l’exode rural, l’implantation de grandes unités industrielles et  surtout face à une forte explosion démographique .La pression se faisait sentir âprement et  essentiellement dans les villes situées dans la bande côtière comme Alger, Oran et Annaba.
Malgré les gros efforts consentis par les pouvoirs publics en matière de construction de logements, le problème n’a pu être résolu, notamment avec la chute des prix du pétrole en 1986 et l’application des plans d’ajustements structurels au début des années 90.  L’option pour la réalisation de nouvelles villes semblait être l’unique solution de faire face aux questions de l’heure. Certes, le défi était assez lourd a concrétiser, de par les immenses dépenses a investir dans la construction de ces nouvelles villes, dont certaines ont atteint déjà des taux de réalisation assez satisfaisants.   Ces dernières conçues selon de nouvelles visions, comprendront des espaces de recherche, des instituts dédiés à l’agro-écologie, aux énergies nouvelles et renouvelables, à la gestion des déchets et à l’efficience énergétique dans le bâtiment. Elles seront un modèle de villes modernes, écologiques et attractives.
Elles seront à vocation récréative et d’importantes infrastructures seront érigées, comme les complexes sportifs, les centres de biotechnologie, les hôtels et centres d’affaires et de finances internationaux. En dernier, elles finiront surtout par clouer les becs de ces corbeaux qui croassent toujours, et qui ne savent que prédire le chaos pour cette Algérie, qui a opté pour le modernisme, le plein développement de son territoire et le bonheur de son peuple