Au plan de la communication, le Front de libération nationale (FLN) se cherche. Du moins sur les réseaux. Le parti, qui traverse une convalescence organique, après le putsch contre Djamel Ould Abbès et la dissolution de toutes les structures héritées du dernier congrès, peine à gérer sa page facebook. Devant la multiplication des pages facebook au nom du FLN, la nouvelle direction du parti a saisi, il y a deux jours, les services compétents de la police pour enquêter sur qui se cache derrière lesdites pages. La police aurait déjà convoqué quelques-uns des animateurs de ces pages. Les pages “pirates” ont obligé le FLN à redémarrer de zéro sa page facebook pour la quatrième fois.
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