Djelloul et Benhadji ne toucheront pas d’indemnités.
C’est désormais officiel, le projet qui tenait à cœur à la famille de l’éducation nationale, les enseignants de la langue française en particulier au niveau national, vient de voir le jour. Mourad Meghni, l’international milieu de terrain algérien, est désormais dans le nouveau programme scolaire du niveau moyen.
A travers un beau texte de lecture fait d’une modeste biographie et à laquelle le père du joueur Da Ali aura grandement contribué avec beaucoup de fierté, les élèves de la classe de 1re AM auront le plaisir de découvrir ce jeune talent dont on gardera le regret de ne pas l’avoir vu parmi les Verts, au mois de juillet dernier en Afrique du Sud, en raison d’une méchante blessure.
Djelloul et Benhadji ne toucheront pas d’indemnités
Puisque Rabah Saâdane a quitté ses fonctions de sélectionneur national, ses adjoints le suivront également, comme le veut l’usage.
Comme c’est lui qui a choisi son adjoint, Zoheir Djelloul, et l’entraîneur des gardiens de but, Hassan Benhadji, ces derniers sont concernés par son départ et, à moins que le nouveau sélectionneur ne les choisisse pour intégrer son staff (ce qui est très improbable du fait qu’un nouveau nommé accepte rarement de s’entourer de gens ayant travaillé avec son prédécesseur), on ne les reverra plus. C’est dans la logique des choses puisque, étant venus avec Saâdane, ils doivent partir avec lui.
Suivant l’usage en cours dans le monde professionnel, la démission d’un entraîneur en chef induit explicitement celle de ses adjoints. Donc, Djelloul et Benhadji sont également démissionnaires d’office, même s’ils croient pouvoir rester s’ils le veulent.
De surcroît, leurs contrats contiennent une clause claire : ils peuvent être démis de leurs fonctions à n’importe quel moment. Donc, il n’y a aucune chance qu’il restent, encore moins qu’ils touchent des indemnités de licenciement.
