« Pour se faire respecter, il faut respecter autrui » Malheureusement, ce dicton, n’est plus d’usage à l’heure actuelle. Dans le même contexte, le phénomène de la violence et de la délinquance, sous toutes les formes dans les écoles, les collèges, les lycées et même, dans les universités, n’est pas un fait nouveau, pour le commun des mortels c’est que c’est un acte délictuel quotidien dans notre société.
Mais là, où la sonnette d’alarme doit-être tirée, c’est de voir que des élèves du moyen, tentent d’asperger et de bruler vifs leurs propres professeurs. C’est ce qui s’est passé dans l’après-midi du mercredi 23 janvier 2013, aux environs de 16 heures au C.E.M Bencheikh Bensaber, situé au quartier Djebli Mohamed, à Mostaganem où un élève âgé d’environ une quinzaine d’années du même CEM a franchi les portes du collège comme s’il entrait dans un moulin et après avoir déversé de l’essence dans divers endroits de l’école fit irruption dans la classe où se trouvait son professeure (D.H) qui donnait son cours et après l’avoir giflé et fauché en l’aspergeant d’essence, sortit un briquet de sa poche et au moment où il s’apprêtait à l’actionner pour l’immoler c’est alors que les collégiens poussant des cris d’affolement ont appelé au secours.
Se sentant encerclé, le pyromane ne trouvant pas d’issue de secours pour fuir, et c’est par le toit après s’être aspergé à son tour, voulait s’immoler. Les policiers et les agents de la protection civile étaient sur les lieux et c’est alors qu’ils ont réussi à faire entendre raison au pyromane, qui s’était rendu aux services de la sûreté urbaine de police.
M.A.R
