Mondial 2014 : On ne parle que du match retour face au Burkina-Faso

Mondial 2014 : On ne parle que du match retour face au Burkina-Faso

Après la défaite au match barrage-aller des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, à Ouagadougou, face au Burkina Faso, dans les circonstances que l’on sait, avec un arbitrage défavorable, qui a permis aux Burkinabés de l’emporter au final sur le score étriqué de 3 buts à 2, les commentaires et autres spéculations vont bon train au sein des supporters des Verts sur le match retour à Blida.

Après la défaite au match barrage-aller des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, à Ouagadougou, face au Burkina Faso, dans les circonstances que l’on sait, avec un arbitrage défavorable, qui a permis aux Burkinabés de l’emporter au final sur le score étriqué de 3 buts à 2, les commentaires et autres spéculations vont bon train au sein des supporters des Verts sur le match retour à Blida.

Si pour la majorité d’entre eux la victoire et la qualification de l’EN ne font aucun doute, il y a une frange d’inconditionnels qui appréhendent malgré tout la manche retour du fait qu’un match nul suffira aux Etalons du Burkina pour arracher la qualification au Mondial. Ce qui serait pour eux une première historique.

Il est vrai que l’équipe dirigée par Paul Put renferme un certain nombre de talents tels Bancé, Pitroika et Koné, entre autres, capables à eux seuls de faire la différence. Mais, franchement, au vu de la physionomie de la première confrontation entre les deux sélections à Ouagadougou, on peut avancer sans risque de se tromper que la troupe à Vahid Halilhodzic a bien les moyens de s’imposer le 19 novembre prochain à Blida. Il faut dire que les camarades de l’exemplaire capitaine Madjid Bougherra ont réussi une belle prestation à Ouaga même, en dominant certains moments de la partie. Ils auraient même pu l’emporter avec un peu plus de concentration et de lucidité devant le but adverse, sans que personne n’aurait trouvé à redire. Côté algérien, il y avait beaucoup de regrets au coup de sifflet final de l’arbitre mettant un terme aux débats, même si la sérénité régnait au sein du groupe Algérie. Le pénalty imaginaire accordé par l’arbitre aux Burkinabés et qui leur a permis de l’emporter a faussé le résultat de la partie. Les Verts méritaient au moins le match nul. Par ailleurs, les observateurs ont relevé certaines insuffisances au sein du onze nationale, notamment au niveau du côté droit de la défense où Mehdi Mostefa est quelque peu contesté par les fans des Verts, qui trouvent que certes, il se donne à fond et joue simple comme lui demande coach Vahid, mais ils trouvent qu’il montre à chaque fois ses limites sur un plan purement technique et aussi sur le plan offensif. Si le sélectionneur national continue à lui faire confiance, c’est qu’il a bien ses raisons, même si pour certains, Khoualed serait le mieux indiqué pour occuper ce poste. Au milieu du terrain, Yebda a effectué une bonne entame de rencontre, avec une bonne première mi-temps, avant de voir son rendement diminuer quelques peu.

Cela est compréhensif du fait de sa longue absence des terrains la saison passée. Pourquoi Vahid Halilhodzic l’a-t-il aligné dans ce cas ? La raison est simple, face aux longilignes Burkinabés, il voulait des joueurs costauds sur le plan physique sur le terrain et Yebda répond bien à ce critère. Medjani a lui aussi évolué au milieu de terrain, pour son esprit combatif et sa polyvalence. Au match retour, il faudra s’attendre à certains remaniements restreints et des réglages que n’hésitera pas à apporter coach Vahid, après avoir relevé les forces et faiblesses de l’EN et de l’équipe adverse lors de la première manche. Sachant que l’EN n’a pas le droit à l’erreur et qu’elle doit absolument gagner par un score qui lui assure la qualification au Mondial brésilien 2014, il mettra les bouchées-doubles pour présenter le meilleur onze possible, capable de relever le défi pour permettre à l’Algérie de participer pour la 4e fois de son histoire à une Coupe du monde. Le peuple algérien croise les doigts, le rêve est permis…

Mohamed-Amine Azzouz

Le programme philatélique de la FIFA reconduit pour l’édition du Brésil

La Fédération internationale de football (FIFA) a annoncé ce jeudi que son programme philatélique mondial va se poursuivre au Brésil à l’occasion de la Coupe du Monde-2014. «Le programme philatélique permet aux services postaux du monde entier d’apporter leur pierre à l’édifice et de contribuer à faire de la Coupe du Monde de la FIFA le plus grand événement de football qui soit. » a expliqué Thierry Weil, directeur Marketing de la FIFA sur le site officiel de l’instance internationale. « Il permet une implication nationale forte au sein d’un programme mondial dans le cadre d’une compétition qui rassemble les meilleures équipes et qui attire des milliards de téléspectateurs », a t-il ajouté. L’édition 2014 est très attendue d’autant que la Coupe du Monde revient pour la première fois depuis 1950 au Brésil, un pays souvent décrit comme la patrie spirituelle du football, un pays où le football fait partie intégrante de l’identité nationale. Le programme philatélique est d’ailleurs déjà en cours au Brésil, où Correios, le service postal national, a récemment édité deux timbres spéciaux pour honorer la Coupe des Confédérations de la FIFA disputée en juin dernier dans six villes du pays.’ D’autres éditions commémoratives de timbres seront lancées d’ici à 2014, certains d’entre eux comprenant les marques officielles de la compétition à l’instar des affiches des villes hôtes, de l’emblème officiel ou encore de la très populaire mascotte officielle, Fuleco. Les services postaux du monde entier pourront bientôt participer à l’échelle internationale au programme philatélique commémoratif officiel de la Coupe du Monde 2014.