Le ministre de la communication, Nacer Mehal a assuré qu’un groupe de travail composé de journalistes du secteur public ou privés allait été installés la semaine prochaine et dont mission sera de « préparer le projet de loi de l’audio-visuel », le ministre a reconnu qu’il y avait un retard de ce coté et que son ministère allait y remédier.
Nacer a déclaré que son ministère « consulter tous les professionnels » pour la préparation des lois sur l’ouverture de l’audio-visuel « afin d’attirer le téléspectateur algérien et a considéré qu’il était nécessaire d’améliorer la performance de la télévision algérienne qui traverse une étape « difficile » attribuant cela aux problèmes dont souffre l’entreprise et liés comme il l’a dit « à son environnement et à d’anciennes politiques qui ne lui ont pas permis d’accomplir sa mission de service public ». Il a également relevé le développement que connaissent certains programmes politiques diffusés depuis peu par la télévision algérienne en « s’ouvrant sur l’autre avis » indiquant qu’il y avait certaines formations politiques « qui refusaient toujours d’exprimer leurs positions à travers la télévision algérienne », faisant référence au FFS et au RCD. Le ministre de la communication a précisé lors d l’émission « Akthar min midjhar » de la Chaîne I de la Radio nationale, que « cette innovation doit concerner les médias publics et privés, les médias lourds et la presse écrite ». Le ministre a évoqué la préparation d’un dossier dans ce domaine pour revoir des autres chaines de télévisions considérant que cela contribuera à créer un climat de compétitivité entre les chaînes de l’ENTV, appelant les responsables et les employés à prendre des initiatives pour plus d’ouverture. A une question sur le fait que le gouvernement n’ait pas de parole parole, à l’heure ou la loi sur l’information évoque le droit du journaliste à parvenir à la source de l’information, Nacer Mehal a répondu qu’il « partageait cette préoccupation », annonçant que des mesures allaient être prises pour le développement « de la communication institutionnelle », indiquant dans ce contexte l’initiative du ministère des affaires étrangères de désigner un porte parole.