Après avoir peaufiné leur préparation lors de la dernière séance d’entraînement à l’annexe du 5-Juillet, les joueurs se sont rendus à l’hôtel Mercure pour la traditionnelle mise au vert. Mais sur les coups de 2h du matin, Fawzi Chaouchi a été victime d’un malaise qui a créé une certaine panique au niveau de la délégation.
Confronté à un problème respiratoire, Chaouchi a été évacué aussitôt vers le CHU de Beni Messous afin de lui prodiguer les soins nécessaires. Contraint de rester en observation deux heures durant non sans avoir passé une batterie d’examens, les médecins en charge du héros d’Oum Dourmane n’ont rien décelé de grave. Voyant l’inutilité de garder Chaouchi, les médecins l’ont autorisé à regagner son lieu d’hébergement. Les joueurs et les membres du staff technique étaient tous soulagés de revoir sain et sauf l’enfant de Bordj Menaïel qui s’est fait quelques frayeurs la veille de ce match face au MCEE.
Il avait connu les mêmes soucis en mars dernier
Ceux qui connaissent bien Chaouchi savent que ce n’est pas la première fois que le portier mouloudéen est confronté à des soucis similaires de santé. En effet, en mars dernier, Fawzi avait été victime d’un malaise durant la mi-temps du match face à l’ASO au stade Mohamed-Boumezrag, qui l’avait contraint à céder sa place à Farès Bouzidi. Trois jours plus tard, Chaouchi sera forfait pour le match de Coupe d’Algérie contre le Widad de Tlemcen après avoir été évacué vers l’hôpital d’Oran.
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Menad refuse de céder Attafen qui fait le forcing pour partir à l’USMH
N’acceptant plus son statut d’éternel joker, Billel Attafen a émis dernièrement son vœu de quitter le club au prochain mercato hivernal. Contraint de se contenter de brèves apparitions dans le money time, qui sont loin de répondre à ses attentes et ses ambitions. Seulement, Djamel Menad et Farid Zemiti ont foi dans le potentiel de l’ex-Husseindéen, d’où ce refus de le laisser partir au mois de décembre. Sachant qu’il peut à n’importe quel moment retrouver toutes ses sensations qui ont fait de lui le chouchou des Chnaoua, Billalou devra faire le forcing pour rejoindre les rangs de l’USMH qui lui fait les yeux doux. Toujours est-il que tout se décidera dans les jours à venir car du côté de la direction, on veut étudier la situation avec Menad avant de prendre les dispositions qui s’imposent.
Ghrib : «On se penchera sur son dossier après
le match d’El Eulma»
Sollicitant Omar Ghrib afin d’avoir son avis sur le cas Attafen, l’homme fort du Doyen préfère attendre les prochains jours avant de se pencher sur le dossier du meneur de jeu. «Pour le moment, nous sommes focalisés sur ce match face à El Eulma et ce n’est qu’après cette affiche qu’on va se pencher avec Menad sur le dossier d’Attafen et des autres joueurs qui seront étudiés cas par cas avec minutie», dira Ghrib qui, lui aussi, s’oppose farouchement au départ de son joueur.
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Le Mouloudia veut éviter à Mobitang de passer sur le billard
En rechutant à l’entraînement au cours de la semaine dernière, Claude Mobitang n’est toujours pas fixé sur la gravité de sa blessure, où à travers un premier diagnostic, il semble que le joueur souffre du ménisque. Autrement dit, le défenseur central camerounais doit passer sur le billard, afin de soigner convenablement sa blessure. Une situation qui n’est pas faite pour arranger les affaires du MCA, et on veut lui, donc, éviter de subir une intervention chirurgicale, qui risque de l’éloigner de la compétition jusqu’à la fin de la phase aller du championnat. Ainsi, on a n jugé utile du côté du MCA de faire subir à Mobitang des examens médicaux approfondis, pour qu’on se fixe d’une manière définitive sur la nature de sa blessure.
Le diagnostic du Dr Lahcen sera déterminant
Claude Mobitang sera, donc, examiné au cours de cette semaine par le Dr Lahcen, spécialiste en orthopédie, afin de dissiper le doute qui entoure la blessure de Mobitang. S’il s’avère, donc, qu’il ne sera pas nécessaire au défenseur du MCA de passer sur le billard, à ce moment-là, le joueur sera soumis à une rééducation spécifique basée sur le renforcement musculaire, ce qui permettra au MCA de le récupérer pour les dernières journées de cette phase aller du championnat. Cependant, et si le Dr Lahcen recommandera à Mobitang de subir une intervention chirurgicale, au MCA, on est décidés à ne pendre aucun risque pour le joueur, car il vaut mieux qu’il soit indisponible jusqu’au début de la phase retour que de le perdre pour une assez longue durée.
Le joueur traverse des moments difficiles
Alors que Mobitang ne se sent pas bien, et même son coach a constaté que le problème de son joueur est d’ordre psychologique, cette blessure a compliqué la situation pour le défenseur central du MCA. Du fait que s’il passera sur le billard, il sera loin de la compétition, et dire qu’il envisageait à changer d’air au mercato, sachant que son manager l’a proposé à deux clubs au Golfe qui sont intéressés par ses services. Ce n’est pas un hasard, d’ailleurs, si Djamel Menad est à la recherche d’un défenseur central capable de donner un plus à la défense, car il veut un patron pour sa défense. Ce dernier, et à travers ses déclarations, prépare le départ de Mobitang, mais les choses se présentent maintenant sous un autre angle pour le MCA, car si le défenseur camerounais sera opéré, ce sont toutes les données qui vont changer.
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Tandis que la direction était sur le point de décréter l’entrée gratuite
Les tickets du match imprimés in extremis
La direction du Mouloudia était à deux doigts de la catastrophe car, à la veille du match face à El Eulma, les billets du match n’étaient toujours pas imprimés. C’est dire la galère dans laquelle se trouvaient les pensionnaires de Cheraga qui étaient sur le point de décréter l’entrée gratuite au stade Omar-Hamadi. Finalement, tout a été réglé in extremis avec l’imprimerie qui n’est parvenue à répondre qu’avant-hier soir (vers 20 h) aux attentes des dirigeants du Mouloudia qui ont finalement obtenu 10 000 billets. Et à raison de 300 dinars l’unité, le match face au MCEE aurait généré une aide financière non négligeable pour le club. Une enveloppe qui aurait pu échapper au Doyen dans le cas où les tickets n’auraient pas été livrés à temps pour des raisons techniques. Le coordinateur de section, Omar Ghrib, ne cache pas son soulagement d’avoir réglé le problème qui aurait pu porter préjudice au club en termes de financement. «Je ne vous cache pas qu’on était à deux doigts de décréter l’entrée gratuite pour le match face à El Eulma en raison d’un problème de billetterie. Ce n’est qu’hier à 20h que les tickets ont finalement été imprimés pour notre plus grand soulagement», nous a t-il confié à ce sujet.
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Ghrib et son équipe déposent un dossier en béton au TAS
Alors que dans le camp de Brahmia on s’apprête à annoncer, d’une manière officielle, l’installation des 17 sections créées récemment, les pensionnaires de Cheraga ne semblent accorder aucune importance à cette opération, et crient à qui veut les entendre que c’est Omar Ghrib qui est le président légal, élu par les membres de l’AG qui renferme dans sa composante les membres de l’AG constituante qui a récupéré le sigle MCA en 2008. Ghrib et son équipe, et afin d’être en conformité avec la réglementation mise en vigueur régissant les associations sportives, ont tenu à solliciter le TAS en déposant un dossier en béton comme on l’affirme du côté de la villa de Cheraga où on se montre très confiant, d’avoir gain de cause.
L’article 48 sera déterminant
En effet, les pensionnaires de Cheraga, et même s’ils ont eu recours au TAS, c’est au fait qu’ils se fient à l’article 48 des statuts des règlements régissant les associations sportives à travers lesquels, il est clairement stipulé que le club ou ses membres ainsi que les athlètes doivent exposer tout litige devant le Tribunal sportif algérien, et ses décisions arbitrales doivent être appliquées et sont irréfutables, du fait que les décisions du TAS sont sans appel. Ainsi donc, cet article remettra sans aucun doute tout en cause, puisque depuis que le conflit a éclaté au grand jour entre les deux parties, le TAS n’a pas été saisi, alors qu’il est le seul habilité à trancher dans cette affaire, puisque Ghrib et son équipe qualifient l’AG de Brahmia d’illégale et rejette sa composante.
Les articles 12, 15 et 21 : des arguments à faire valoir
En plus du dossier déposé par Ghrib et son équipe, qui est appuyé par le rapport du huissier de justice, à travers lequel il n’a jamais été mentionné que les nouveaux membres ont été admis la composante de l’AG et ce, au même titre des membres évincés puisque même Bachi et Attar ont failli quitter la salle, à cause de la proposition d’écarter des membres, qui a été qualifiée de règlement de comptes, Ghrib et son équipe comptent faire valoir les articles 12,15 et 21 des statuts qui régissent les associations sportives et qui figurent sur le dossier du MCA déposé le 10 septembre 2008 chez le wali délégué au niveau de la daïra de Cheraga. En effet, et à travers l’article 12 qui définit les causes pour lesquelles un membre peut être destitué, il est clair que les plusieurs membres de l’AG ont été évincés d’une manière arbitraire. Quant à l’article 15 qui définit la composante de l’AG, il est bien mentionné que l’assemblée générale est composée des membres fondateurs. Comment expliquer, alors, que douze d’entre eux ont été évincés, sans pour autant parler de l’encadrement technique, administratif et médical qui n’a pas été convoqué à l’AG tenue par le groupe de Brahmia, alors que la réglementation est claire là-dessus et ces membres sont une partie intégrante de l’AG conformément à l’article 15. Quant à l’article 21, il stipule clairement qu’aucun membre ne pourra avoir le droit de participer au vote, s’il ne paye pas ses cotisations, ce qui est le cas pour plusieurs membres de l’AG qui s’est tenue le mois de Ramadhan dernier. C’est sur la base de ces articles de loi et le rapport du huissier de justice de l’AG tenue par Zedek, au mois de février 2012, que le groupe de Ghrib compte avoir gain de cause. Une affaire à suivre.
