MCA : Djaghbala : «C’est grâce à Charef que j’ai découvert la capitale et la Ligue 1»

MCA : Djaghbala : «C’est grâce à Charef que j’ai découvert la capitale et la Ligue 1»

En marge du match amical face au FC Malines, nous avons décidé de nous entretenir longuement avec Abdelmalek Djaghbala, révélation mouloudéenne de cette face aller. L’enfant de Touggourt nous parle dans cet entretien de sa venue à Alger, et la manière avec laquelle il a signé à l’USMH.

Vous avez été durant cette phase aller la révélation mouloudéenne alors que vous étiez à deux doigts d’être libéré au mois de juin. Vous vous attendiez à retrouver un tel niveau ?

Non, mais j’ai beaucoup bossé car cela n’est pas le fruit du hasard. J’ai toujours travaillé très dur pour y arriver. Et je tiens à préciser que personne ne m’a fait part au Mouloudia de son envie de se défaire de moi. J’étais en vacances dans l’Ouest du pays loin de tout le grabuge. J’ai lu que j’allais être libéré, mais dès que j’ai sollicité Ghrib, celui-ci ma affirmé que j étais avec l’équipe et qu’il n’a jamais été question de me céder.

A cette période on croit savoir que vous avez eu des sollicitations…

J’ai été contacté à maintes reprises par le président de Chlef, Medouar qui m’a fait part de son envie de me recruter durant le mois de juin. J’ai finalement décliné son offre, puisque je faisais partie des projets du club.

Et pourtant, à vos débuts rien ne laissait présager une carrière dans le haut niveau, vous qui évoluez dans le championnat régional…

Sincèrement, je suis un miraculé du football. J’ai fait mes catégories jeunes au sein de l’équipe d’Ittihad Nezla, puis j’ai rejoint les seniors de Touggourt. J’ai regagné la ville d’Oran pour passer mon service national, avant de revenir à Nezla qui évolue en Régionale 1.

Comment s’est passé au juste votre venue à l’USMH ?

C’est un ami à moi de Touggourt qui faisait ses classes à l’ISTS à Alger qui a parlé de moi à Boualem Charef. Celui-ci a demandé à me voir afin de me faire des tests. Je n’oublierai jamais ce jour où j’ai quitté ma ville natale pour rejoindre la capitale. Je découvrais pour la première fois Alger. Et pour vous dire vrai, je n’étais pas très chaud à l’idée de faire 800 km et huit heures de route juste pour des tests. Finalement, j’ai réussi au bout d’une semaine à convaincre Charef, lequel a demandé au président Laïb de me faire signer un contrat professionnel. C’était un rêve qui se réalisait, car jamais au grand jamais je ne pensais un jour me produire dans une équipe de Ligue 1. Mes débuts étaient difficiles, mais j’ai pu m’adapter pour devenir par la suite un cadre de l’équipe.

Est-il vrai que vous avez signé à l’USMH pour un salaire qui n’excède pas les 20 000 dinars ?

C’est archi-faux. J’ai entendu ces rumeurs mais je peux vous assurer que j’ai signé pour un salaire qui dépasse les

100 000 dinars.

Par la suite, vous êtes passé à l’étape supérieure en rejoignant les rangs du Mouloudia. Racontez-nous votre divorce avec l’USMH…

A la fin de la saison, j’ai sollicité le président Laïb pour essayer de trouver un accord sur les modalités financières. N’ayant pas trouvé un terrain d’entente, nous avons décidé de mettre fin à notre collaboration. Et c’est à ce moment que Ghrib a pris attache avec moi pour me recruter. Je n’en croyais pas mes yeux, car j’allais à présent jouer pour un club comme le Mouloudia, le plus prestigieux du pays. A ce moment, Medouar m’avait lui aussi contacté, mais j’avais déjà fait mon choix.

Ne pensez-vous pas que cette ascension fulgurante a été réalisée grâce à Charef qui a été votre mentor ?

Je serai éternellement reconnaissant. Je sais que c’est grâce à Charef que j’ai découvert la capitale et la Ligue 1 professionnelle. C’est aussi grâce à lui que j’ai pris une toute autre dimension.

Au Mouloudia, vous êtes en train de réussir votre meilleure saison avec 16 matchs dans les jambes. Et pourtant, le début de saison n’a pas été facile surtout sous la houlette de Liewig…

C’est fabuleux ce que je suis en train de vivre cette saison. J’ai disputé quatorze matchs de championnat et deux rencontres de Coupe d’Algérie. Je n’ai raté qu’une seule rencontre pour cause de suspension. C’est une première partie de championnat très aboutie. Je n’aurai pas été à pareille fête si Liewig était resté. D’ailleurs, pour moi ce n’est pas un entraîneur. Il ne sait pas communiquer avec les joueurs, et ses méthodes de travail sont très aléatoires et sans consistance. S’il était resté, il aurait brisé l’équipe et moi avec.

Par la suite, il y a eu Rabier qui a pris les commandes de façon furtive…

Rabier à su me redonner confiance. C’est lui qui m’a lancé au poste de stoppeur lors du stage en Tunisie. Malheureusement, c’est le résultat contre l’USMA qui lui a été fatal. C’est aussi cela la vie d’un entraîneur.

Idéalement placé dans la course au titre, est-ce que vous pensez que vous avez les moyens d’aller au bout de vos rêves avec un sacre à la fin de la saison ?

Nous avons les moyens et l’équipe pour réussir un coup d’éclat. Mais, si j’avais à choisir entre le championnat et la coupe, j’opterai pour l’épreuve populaire. Cette finale perdue contre la JSK au 5-Juillet m’est restée en travers de la gorge. Et je veux avoir une revanche en brandissant la coupe, en la ramenant dans ma ville natale de Touggourt.

On sait que vous êtes un amoureux du football européen. Quelle équipe et quels joueurs préférez-vous ?

Je suis un fan de Manchester United et de Patrice Evra qui est un défenseur hors norme. Je pense que MU avec Van Persie,est bien parti pour remporter le titre.

Vous et Chaouchi êtes des inséparables. Est-ce que vous avez été peiné lorsqu’il n’a pas été retenu pour la CAN ?

Absolument. Fawzi et moi, sommes comme des frères. Nous avons pratiquement la même mentalité. Et je peux vous dire sans complaisance aucune que c’est une perte pour l’Algérie de se passer des services de Fawzi, qui est le meilleur gardien du pays. J’espère que le sélectionneur national le retiendra pour les éliminatoires pour la Coupe du monde.

———————————————-

Sayeh : « N’était Ghrib, j’avais décidé de quitter le club au mois de décembre »

Deuxième meilleur buteur de l’équipe la saison dernière, Reda Sayeh est descendu très vite de son nuage en se retrouvant relégué sur le banc des remplaçants puis non retenu pour les matchs officiels. Sayeh, dans son intervention, n’a pas caché son envie de partir, car il avait du mal à accepter une situation inédite pour lui. «J’ai connu une première saison de rêve avec le Mouloudia. En provenance de Mekhadma, j’ai réussi à marquer dix buts. Je croyais que la saison suivante allait me permettre de confirmer tout le bien qu’on pensait de moi. Mais j’ai très vite déchanté avec cette mise à l’écart, car je n’ai joué qu’un seul match comme titulaire, c’était face à Saoura. Depuis, j’ai attendu d’avoir ma chance, mais je ne voyais rien venir. Et je ne vous cache pas que j’avais l’intention de partir au mois de décembre. Mais Omar Ghrib ne voulait pas du tout entendre parler de mon départ. A ce moment-là, j’avais la tête dans le sac. Je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Chez moi à Ouargla, tout le monde voulait connaître les raisons de ma mise à l’écart. Mais je n’avais pas d’explication plausible à leur donner. Je suis vraiment passé par des moments très difficiles.»

«Je vais me battre pour reconquérir ma place»

Poursuivant son analyse, Sayeh se dit cette fois-ci déterminé à se battre pour retrouver le statut qui était le sien en 2011. «C’est sûr que maintenant je vais guetter la moindre occasion pour gagner la confiance du coach. Je dois me battre pour reconquérir ma place. Mais cela ne pourra se faire sans avoir un certain volume de jeu. Je ne pourrais saisir ma chance que si on me donne l’occasion de jouer. Je veux réussir, car je ne peux accepter de revivre la même situation qu’en 2012», nous a confié Sayeh qui a dû se contenter de quelques brèves apparitions en championnat. Pas de quoi l’enthousiasmer, lui qui fut le chouchou du public de Bologhine.

————————————————–

Ghazi a fêté ses 34 ans après le dîner en présence des Ententistes

Le chef de la délégation, Rafik Hadj Ahmed a préparé une belle surprise à son joueur qui a soufflé avant-hier ses 34 printemps. Après avoir bien dîné, le personnel du restaurant a surpris la délégation en ramenant un gâteau avec des bougies à la table de Ghazi qui était très ému. Chaouchi, dans ses œuvres, a créé une sacrée ambiance, puisque tous les joueurs ont commencé à scander à l’unisson le nom de Ghazi tout en lui souhaitant un joyeux anniversaire. El Okbi et Belkaid sans oublier Benamer ont partagé ce moment très spécial avec Ghazi qui en avait les larmes aux yeux. C’est Reda Babouche, en bon capitaine, qui a découpé le gâteau. Tout le monde a eu droit à son petit morceau, car il était évident qu’il ne fallait pas abuser des sucreries. Le poids de l’âge ne semble pas avoir d’emprise sur l’éternel Ghazi, qui a montré durant la première partie du championnat qu’il avait toujours ses jambes de vingt ans. «J’ai été très touché par cette marque d’attention, je ne m’attendais pas à une telle surprise. J’espère que cette année 2013 sera prolifique est riche en titres pour le Mouloudia.»

———————————————

Bouraba : «Menad porte un costume plus grand que lui»

Libéré par son entraîneur pour insuffisance technique, Tahar Bouraba évoluera au CAB sous forme de prêt pour une durée de six mois, suite à l’accord trouvé entre la formation  des Aurès, le joueur et la direction du Mouloudia. En effet, le président du CAB, qui a émis le vœu de bénéficier des services de Bouraba, a pris attache en premier lieu avec Omar Ghrib avec lequel il a toujours entretenu de bonnes relations. Ce dernier s’est montré prêt à faciliter la tâche au joueur pour terminer la saison au CAB, mais il devait à son tour discuter avec le joueur, du fait qu’il n’a pas voulu transférer Bouraba contre son gré. Ce dernier, et juste après la proposition qui lui a été faite par le coordinateur de la section football, n’a pas hésité à répondre favorablement à l’offre du CAB, bien  que sur le plan financier il ne percevra pas le salaire qui était le sien au MCA

Vous allez terminer la saison au CAB suite à l’accord que le MCA a trouvé avec votre nouvelle équipe.

Je vous confirme que je suis officiellement au CAB pour lequel je vais jouer le reste de la saison et je vais faire de mon mieux pour donner un plus à cette équipe qui a cru en moi, contrairement à Menad qui m’a vraiment lésé.

Voulez-vous dire que Menad ne vous a pas donné votre chance ?

Dans la mesure où cette nouvelle expérience au MCA n’était pas bénéfique pour moi, dans la mesure où au lieu de rebondir je me suis retrouvé dans une position délicate à cause de Menad, qui ne m’a pas donné de chance. Si certains pensent qu’il m’a donné l’occasion de jouer à Sétif, ils se trompent énormément. Menad a juste voulu me briser en me faisant rentrer lors de la dernière demi-heure de jeu face à l’ESS sans penser même à l’intérêt de l’équipe.

Soyez plus explicite…

Vous savez bien que je manquais de compétition. Comment expliquer que dans un match assez intense et aussi important, alors que l’équipe était menée par deux buts à un, il a fait semblant de me faire confiance. S’il cherchait l’intérêt de l’équipe il aurait pu faire rentrer un joueur comme Yalaoui qui était plus compétitif, contrairement à moi. S’il voulait me donner la chance, il pouvait le faire dans d’autres confrontations, mais la vérité est toute autre : il a cherché juste à me casser. Pour preuve, le match suivant, il a convoqué tous les joueurs qui ont fait le déplacement à Sétif sauf moi. Je me demande comment il s’est permis de reléguer l’intérêt de l’équipe au second plan, alors que le MCA pouvait revenir dans le match.

Mais Menad vous a accordé sa confiance lorsqu’il était votre entraîneur à la JSMB. Qu’y a-t-il de changé au MCA ?

Détrompez vous, c’est Menad qui m’a ramené à la JSMB avant de se retourner contre moi, mais à Béjaia je jouissais de l’estime des supporters et c’est pour cette raison que je jouais, contrairement à ce qui se passe ici au Mouloudia. Je voue un grand respect pour les supporters du MCA et je n’hésiterai jamais à dire qu’ils sont toujours fidèles à leur équipe. Je comprends qu’ils aiment voir les grands noms sur le terrain, mais je pense aussi que je n’ai pas eu la chance de m’exprimer sur ma véritable valeur.

Vous en voulez tellement à Menad ?

Je ne suis pas rancunier, mais sachez que Menad n’était pas correct et c’est pour cette raison que je lui en veux. Je pense que vous aurez l’occasion de le découvrir lors des matchs suivants, et vous serez persuadé qu’il porte un costume plus grand que lui. Ce n’est pas l’entraîneur qui convient au MCA, sans parler de sa politique envers les joueurs.

A quoi faites-vous allusion ?

Menad ne se comporte pas de la même manière avec les joueurs. Lorsque certains éléments arrivent juste un peu en retard à l’entraînement, il fait tout un drame et il les sermonne, mais lorsque d’autres éléments qui sont ses protégés arrivent même très en retard, il fait comme si rien n’était, ou essaye de les satisfaire à chaque fois. S’il est incapable de gérer un groupe de vingt-cinq joueurs, il n’a qu’à demander qu’on lui réduise l’effectif.

Si vous allez revenir à votre meilleur niveau face à Batna, allez-vous revenir au MCA si Menad reste ?

Sachez que je vais revenir au Mouloudia et non chez Menad.

—————————————————–

Ghrib :«Si Mbele et Bouraba réussissent au CAB, ils peuvent revenir au MCA»

«Je pense avoir fait de mon mieux pour faciliter la tâche à Mbele et Bouraba de jouer au CAB. J’avais promis de les aider, car je ne suis pas le genre de responsables à abandonner ses joueurs. Après avoir réglé le cas de Mobitang qui a pris sa lettre de libération et le reste de son argent, je me suis penché sur le cas de Mbele et de Bouraba qui termineront la saison au CAB et s’ils vont réussir, ils peuvent revenir au MCA sans aucun problème», dira Ghrib.

——————————————–

Bouguèche : «J’ai officiellement résilié mon contrat»

Tout porte à croire que Hadj Bouguèche terminera la saison au MCA et ce, après avoir réussi d’une manière officielle à résilier son contrat qui le lie à la formation d’Al Tawoun. Alors qu’il devait rentrer, aujourd’hui, au pays, Bouguèche sera contraint de prendre son mal en patience et dira : «Comme vous le savez, je ne pensais pas que j’allais accuser tout ce retard pour que je puisse régulariser ma situation envers mon club. Le plus important pour moi est le fait d’avoir réussi déjà à résilier officiellement mon contrat, mais il reste tout de même l’autorisation de sortie que j’attends de recevoir. Dès que je l’aurais, je rentrerai au pays dans le premier vol à destination de l’Algérie». Ainsi, le retour de Bouguèche au MCA est acquis et il ne reste que cette fameuse autorisation à obtenir.

—————————————–

Mbele : «Je vais au CAB montrer de quoi je suis capable»

Le Mouloudia a décidé de vous prêter au CAB pour une durée de six mois, étiez vous associé à ce choix ?

Il y avait deux clubs qui se sont manifestés auprès de la direction du club, à savoir le WAT et le CAB. Finalement, nous avons trouvé un accord pour que je termine la saison à Batna. Le Mouloudia m’a donc associé à cette décision et je crois avoir fait le bon choix, car j’ai vu à l’œuvre cette équipe du CAB à laquelle on a donné la réplique et je pense qu’elle à tout de même un bon potentiel. Je vais essayer d’apporter un plus à ma nouvelle équipe.

Dans un premier temps, vous avez refusé carrément de jouer au profit d’une formation qui joue sa survie en élite…

J’étais vraiment déçu que je ne sois pas retenu pour faire partie de l’équipe lors de la phase retour, car j’étais prêt à me préparer avec mes coéquipiers en Espagne et rien ne présageait que j’allais être libéré. Je ne m’attendais pas à ce que Menad décide de ne pas me reprendre pour la phase retour du championnat, alors qu’il ne m’a même pas donné ma chance. Personnellement, j’étais persuadé qu’avec Menad rien n’allait changer pour moi, et c’est pour cette raison que j’ai fini par accepter de jouer pour une équipe qui aura le maintien pour objectif. Vaut mieux pour moi de jouer et de revenir à mon meilleur niveau que de faire banquette au MCA ou rester six mois sans club.

Et vous avez fini par donner votre accord pour jouer au CAB…

Lorsque j’ai choisi de jouer au MCA, je voulais gagner des titres, mais j’étais marginalisé par le coach et je ne sais pour quelle raison. Pour preuve, les rares fois où il m’a fait jouer et pour un assez court laps de temps, j’ai évolué dans un poste auquel je ne suis pas habitué, d’où l’impossibilité que je donne satisfaction, mais aussi pour le coach de me juger. Vaut mieux donc pour moi de reculer pour mieux sauter et j’ai choisi le CAB après avoir trouvé un accord avec le président.

Peut-on comprendre que vous avez fait des concessions du fait que le CAB ne pouvait vous assurer le même salaire qui était le vôtre au MCA ?

Avant tout, je remercie le CAB pour la confiance placée en moi, et je vais tout faire pour être à la hauteur. Il est évident que le CAB n’a pas les moyens de me donner un salaire conséquent, mais je peux vous assurer que l’argent ne compte pas autant pour moi, car ce qui m’intéresse le plus c’est de montrer de quoi je suis capable avec le CAB

On sent que vous êtes décidé à prendre une revanche sur le sort et vous avez mal apprécié la décision de Menad de vous libérer…

Je ne tiens rancune à personne, mais je suis déçu du fait que Menad m’a lésé sans aucune raison valable. Lors du stage de préparation avec Rabier, j’ai joué tous les matchs amicaux et j’ai même pris part au match que nous avons livré en championnat face à l’équipe de Saoura. Mais depuis l’arrivée de Menad, les choses ont changé pour moi. Je reconnais que je n’étais en possession de tous mes moyens, en accusant un peu de retard sur le plan physique relativement à mes coéquipiers, mais je ne pouvais tout de même pas revenir à mon meilleur niveau sans avoir ma chance et de jouer d’une manière régulière. C’est en gagnant plus de volume de jeu que je pouvais reprendre mes moyens. Je pense que cette opportunité va s’offrir pour moi au CAB et je sais ce que je vaux, car on football où bien tu sais jouer ou bien tu ne le sais pas. Moi mes preuves je l’ai faites par le passé, en évoluant pour des équipes qui ne sont plus à présenter sur le continent, et je tâcherai à retrouver tous mes moyens

Vous voulez revenir au MCA par la grande porte la saison prochaine ?

Je préfère me concentrer sur mon travail avec le CAB au lieu de parler de l’avenir. Ce qui m’intéresse le plus actuellement, c’est de réussir avec ma nouvelle équipe. Pour preuve, j’ai fait des concessions même sur le plan financier, et je pense que même en luttant pour le maintien, cela est une motivation pour l’équipe et il sera un objectif à atteindre.

—————————————

Les joueurs contents pour Mbele et Bouraba

Hier matin au petit déjeuner, les joueurs étaient tous heureux d’apprendre que Blaise Mbele et Tahar Bouraba ont finalement trouvé preneur, puisqu’ils ont été tout deux prêtés au Chabab de Batna. Les joueurs sont intiment convaincus que les deux joueurs vont redonner un nouvel élan à leur carrière du côté des Aurès.

Zemiti directement dans le vif du sujet

Arrivé dans la soirée d’avant-hier en compagnie du coach de l’Entente Verlud, Farid Zemiti n’a pas eu droit à un tour d’échauffement puisqu’il est rentré hier après-midi dans le vif du sujet avec le match-test face au FC Malines.

Deux fans du Doyen sont venus d’Alger pour suivre le match

Décidément, le Mouloudia quand tu nous tiens ! Deux supporters assidus du Doyen connus pour être des proches du club, Hakim et H’mimed ont rejoint avant-hier leur équipe favorite à l’hôtel Benidorm. Les deux supporters vont rester jusqu’à la fin du stage, afin de suivre les deux matchs amicaux contre le FC Malines et le Vitesse Arnhem.

Djallit veut contester la suprématie de Hachoud

Vainqueur du tournoi organisé par les joueurs, Abderrahmane Hachoud règne en maître au tennis de table. Hier, Mustapha Djallit a promis de contester la suprématie de son camarade, mais c’était peine perdue. Hachoud a démontré une nouvelle fois qu’il était le plus fort en attendant de trouver un challenger à la dimension de son talent.

Mouloudéens et Sétifiens aux jeux de dominos

Après le dîner d’avant-hier soir, Hocine Metref s’est associé avec El Okbi alors que Metref a lié ses forces avec Belkaid pour livrer une partie de dominos qui aura duré plus d’une demi-heure. C’est finalement, l’équipe de Belkaid qui a pris la mesure de leur adversaire sous l’œil attentif de Benamer et Madoui.