Au moment où il rejoignait les rangs du Mouloudia, la direction avait alors conclu avec Sid-Ahmed Aouedj au rabais. Le fait que les pensionnaires de Hydra aient racheté le contrat du joueur, qui était lié à la JSK, l’a contraint à revoir à la baisse ses exigences financières. Toutefois, une clause dans le contrat offre le droit au natif d’Oran de revendiquer une revalorisation de son salaire sans en fixer le montant. Un vide juridique qui laisse libre cours aux négociations entre les deux parties. D’ailleurs, Aouedj serait attendu demain à Alger pour rencontrer les responsables du club dans le but de réclamer un salaire de 240 millions, lui qui touche actuellement 150 millions par mois. Les discussions risquent d’être très rudes car du côté du Mouloudia, on prône plus la réduction de la masse salariale que le contraire.
La direction entend lui proposer 180 millions
Auteur d’une très belle phase retour, on n’oublie pas du côté de la direction que l’équipe a lutté pour le maintien et non pour le titre. De ce fait, il est hors de question pour la direction de répondre aux attentes de Sid-Ahmed d’autant plus qu’il n’y a pas si longtemps Benbraham n’a eu droit qu’à 20 millions de centimes d’augmentation. Ainsi, nous avons appris que les responsables du Doyen devront offrir un salaire de 180 millions à leur joueur qui aura doit à 30 millions de centimes de plus. Ce sera en tout cas le dernier mot du président Raïssi et Hadj Ahmed, qui ne veulent surtout pas ouvrir la porte aux autres joueurs qui réclameront à leur tour une revalorisation de leurs mensualités.