La classe politique française se déchaîne contre l’ancien attaquant des bleus,joueur du club Réal Madrid, Karim Benzema,selon qui Didier Deschamps a cédé la pression d’une partie raciste de la France, en ne le sélectionnant pas pour l’Euro 2016.
Si l’ancien premier ministre français François Fillon a qualifié les propos e Benzema d’insupportables, et l’extrémiste du FN Jean Marie le Pen lui a donné un carton jaune,La députée du front du Vaucluse,Marion Maréchal Le Pen n’a pas tardé à tacler le franco-algérien.
Lors d’une déclaration postée sur son compte Twitter,la députée a évoqué une ingratitude envers le pays qui a abrité Benzema : « Né et formé en France,Bebnzema est devenu multimillionnaire grâce à notre pays sur lequel il crache aujourd’hui »,a-t-elle martelé.
«Benzema : L’Algérie c’est mon pays la France c’est juste pour le coté sportif » « Qu’il aille jouer dans son pays s’il n’est pas content ».
Pour sa part, le vice président du FN,Louis Aliota notamment réagi sur les propos de Benzema : « Contempler l’équipe de France, lire les accusations de Benzema,et voire le rôle délétère de l’anti-racisme ».
L’ancien président français, Nicolas Sarkozy a notamment taclé Benzema mais différemment. Ce dernier est allé loin lorsqu’il a accusé l’actuel président de ce qui se passe aujourd’hui.
« Je trouve tout ça désolant pour le sport, pour la fête qu’est l’Euro, pour le football qui est ainsi politisé »,a-t-il dévoilé, soulignant que la responsabilité est avant tout celle de l’exécutif : « C’est le résultat d’un communautarisme militant, encouragé par ce gouvernement depuis quatre ans. Le gouvernement et notamment François Hollande, a joué avec ses communautarismes, a poussé les français les uns contre les autres ,et le résultat c’est ces déclarations insensées de Karim Benzema de Jamel Debbouze et de ce pauvr’e monsieur Cantona», a-t-il asséné.
*Titre modifié par Algérie360