Le nom de l’ex-sélectionneur de la Squadra Azzura, Marcelo Lippi, a circulé avec insistance dans les milieux de la presse sportive. C’est sur la base des dires du président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, que le nom de Lippi a surgi.
puisque le président de la FAF avait affirmé que «le futur sélectionneur sera d’un très haut niveau, c’est quelqu’un qui a un palmarès international». Ils ne sont pas nombreux à être de ce calibre-là. Marcelo Lippi en fait partie. Nous avons alors contacté le dernier coach à avoir offert à l’Italie le titre de champion du monde.
– Monsieur Lippi, la presse algérienne parle de vous comme le futur entraîneur de la sélection algérienne…
– A la bonne heure ! C’est la première nouvelle de la journée. Non, plus sérieux, je n’ai pas connaissance de ce qui se dit dans la presse algérienne.
– Est-ce qu’il y a eu un quelconque contact avec la Fédération algérienne ?
– Pas le moins du monde, non. Ni de contact direct ni indirect. Ni de la Fédération algérienne ni d’une personne parlant en son nom. D’ailleurs, je vous informe que je suis en vacances en Espagne pour au moins jusqu’à la fin du mois de juin, donc, vous voyez, je ne me presse pas pour cela.
– Si toutefois, vous serez contacté par la Fédération algérienne de football, est-ce que le poste vous intéresse ?
– Qu’on me contacte d’abord et j’y réfléchirai. Là, je ne peux pas me prononcer du fait que je n’ai rien de concret. Je ne peux vous dire si tel ou tel poste me convient alors que je n’ai aucune base concrète pour en parler. Rappelez-moi dans quelques jours, on verra bien s’il y aura quelque chose de nouveau.
M. F.