Mandat d’arrêt international contre une chanteuse de Rai

Mandat d’arrêt international contre une chanteuse de Rai

Les « chanteuses » Rai ne cessent d’attirer les lumières de nos jours et elles prennent place sur la scène des actualités « choquantes » ses derniers temps. Cette mise en lumière n’est pas dû à leur « dit art » mais plutôt dû à une série d’évènements et une tendance de « Harga » ornées de motifs étonnants.

L’une des figures connues dans ce milieu et qui a pris le large vers un pays Européen, selon des sources bien informées, cette dernière vient d’être mise sous mandat d’arrêt international.

Selon nos sources, la chanteuse est placée sous mandat d’arrêt suite à une affaire de fraude et d’atteintes affectant la liberté des personnes. Les faits liés à cette affaire remontent au mois de décembre de l’année 2021, lorsqu’une « victime » a déposé plainte contre cette dernière.

En effet, les investigations sur cette affaire ont révélé que la chanteuse est accusée d’escroquerie et de fraude avant de s’enfuir et choisir « El Harga » comme issue.

La chanteuse est poursuivie pour deux affaires

L’accusée a été poursuivie en justice pour deux affaires différentes. Selon nos sources, une première affaire concernant une escroquerie ou elle a manipulé sa victime et lui a enlevé un montant de 550 millions de centimes. La victime s’est présentée auprès des autorités d’Oran et a déposé plainte contre la chanteuse. Résultat des procédures judicaires qui ont suivi la plainte déposée, le tribunal de Fellaoucen à Oran a condamné l’accusée à une peine d’une année de prison ferme.

L’affaire ne s’arrête pas juste à l’escroquerie mais, selon nos sources, la chanteuse accusée est allée très loin avec sa victime. Et elle est accusée encore dans une deuxième affaire qui est l’atteinte affectant la liberté des personnes.

Cette dernière et son entourage ont menacé la victime afin de la pousser à retirer sa plainte déposée contre l’accusée. Par cette action, la chanteuse a été encore poursuivie par la justice, cette fois-ci pour atteinte affectant la liberté des personnes.

Après lui avoir enlevé sont argent, elle menaçait sa victime de partager ses photos sur les réseaux sociaux. La victime a présenté aux autorités des chèques signés à blanc par l’accusée qui a promis de lui rendre son argent le plutôt possible mais au lieu de le faire, la chanteuse choisit d’autres moyens pour faire taire sa victime.

17 jours après l’annonce du jugement contre cette chanteuse et une fois qu’elle a appris son sort, l’accusée s’est enfuie en Espagne afin d’échapper à la peine de prison qui l’attendait.