Et la raison est simple : son hésitation préalable entre le maillot des Bleus et celui de la sélection algérienne. Dans les colonnes de l’Equipe, le milieu offensif lyonnais revient sur cet épisode : « Honnêtement, je m’en fous. Les sifflets ne me dérangent pas. Au contraire, c’est une force supplémentaire pour leur montrer qu’ils ont tort », assure-t-il dans des propos relayés par Footmercato.
S’il promet que les sifflets ne nuiront pas à ses performances, Nabil Fekir reconnaît qu’il posent tout même problème. « C’est sûr que se faire siffler par son propre public, c’est un peu embêtant », concède-t-il.