L’intervention militaire étrangère ne résoudra pas la crise actuelle en Libye, mais aggrave la situation avec le risque de voir le conflit perdurer, pouvant conduire à la division du pays, a estimé mercredi à Alger l’universitaire Ahmed Adhimi.
« L’intervention militaire de pays occidentaux en Libye a créé un précédent dans la région », a indiqué M. Adhimi, professeur à la faculté des sciences politiques et de l’information de l’université d’Alger, lors d’une conférence intitulée « la crise en Libye…réalité et surenchères », animée au centre des études stratégiques du quotidien « Echaâb ».