L’Instance de consultations sur les réformes politiques a reçu, lundi à Alger, le président du groupe parlementaire des Indépendants à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Imad Djafri.

L’Instance de consultations sur les réformes politiques a reçu, lundi à Alger, le président du groupe parlementaire des Indépendants à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Imad Djafri.

L’Instance de consultations sur les réformes politiques a reçu, lundi à Alger, le président du groupe parlementaire des Indépendants à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Imad Djafri.

L’Instance de consultations qui est représentée par son président, M. Abdelkader Bensalah, assisté de MM. Mohamed Touati et Mohamed Ali Boughazi, devrait recevoir par la suite le président du groupe parlementaire du tiers présidentiel au Conseil de la nation, M. Mohamed Boukhalfa.



Dans l’après-midi, l’Instance qui en est à son 10e jour de consultation, devrait recevoir les premier et deuxième vice-présidents de l’Association des  ulémas musulmans algériens, respectivement M. Mohamed Lakhal Chorafa et le Dr Ammar Talbi. Depuis le début de ces consultations plusieurs délégations de partis politiques, des personnalités nationales et des représentants de la société civile ont été reçus.

Au terme de ces consultations qui se poursuivront jusqu’à la fin du mois de juin prochain, un rapport final détaillé, reflétant « fidèlement » les avis et les propositions émis par les participants, sera soumis au président de la République.

Les propositions seront ensuite présentées au gouvernement qui élaborera, sur cette base, des projets de loi qui seront soumis à l’Assemblée populaire nationale en septembre prochain.

Le président de la République avait annoncé dans son discours à la nation du 15 avril dernier, des réformes politiques englobant une révision, en 2011, de l’essentiel du dispositif législatif national (loi électorale, loi sur les partis politiques, loi sur les associations, code de l’information, code de wilaya…) et devant être parachevées, après les législatives de 2012, par un amendement « en profondeur » de la Constitution.