On croit savoir que les services de l’IGF ont tenté de comprendre où sont passés les anciens lustres de l’hôtel El Djazaïr remplacés par d’autres luminaires.
De la même manière, leur intérêt s’est porté également sur les anciens meubles, notamment les tables basses serties de carreaux de céramique du XVIe siècle. Enfin, les fins limiers de l’IGF se sont également penchés sur «le démantèlement de la céramique de l’artiste Boumehdi ».