L’expérience algérienne de gouvernance et de dialogue, menée depuis une vingtaine d’années, rend la situation actuelle de l’Algérie différente de celle prévalant dans les pays arabes en proie à des troubles ou à des processus de changement politique, ont observé des personnalités présentes à une réunion lundi à Genève du conseil d’administration du Bureau international du travail (BIT).
Ce panel exceptionnel, auquel ont participé des représentants algériens, était consacrée exclusivement à la situation dans la région arabe et aux moyens d’ »appuyer les peuples arabes dans leur action » pour plus de liberté et de justice. Au cours des débats, l’Algérie a été classé parmi les pays ayant déjà entrepris un processus démocratique et a été donc exclue des discussions sur les pays arabes en crise.