Les banques publiques ont reçu l’instruction du gouvernement, pour faciliter le processus d’obtention de financement pour les projets « Ansej » et l’allégement des dossiers administratifs et de leurs études.
Comme, il a été souligné hier, la signature d’un nouvel accord entre l’ »Ansej » et les banques qui facilitera de bénéficier des prêts bancaires, et en vertu du présent accord, les jeunes ne sont pas tenus de présenter tout le dossier adéquat comme à l’accoutumée, tels que les registres de commerce et les contrats de location, mais ils le feront après son approbation. Dans le même contexte, l’expert économique, Farès Mesdour, a souligné pour le quotidien Echorouk que les facilités attrayantes et successives qui permettent aux jeunes d’ obtenir des milliards de prêts « Ansej », sans formation, ni accompagnement ou conseils, sont considérés comme un gaspillage d’argent public et de l’accomplissement des promesses de l’élection précédente , au détriment du Trésor public , et a ajouté que beaucoup de jeunes bénéficiaires de ces projets ont prouvé leur échec sur le terrain et recourent à la vente du matériel acquis sans leurs demander les comptes. Soulignant qu’à travers ces pratiques, l’Etat essaye d’absorber la colère des jeunes et les attirer avec des fonds d’une part et les menace d’emprisonnement d’autre part, en particulier pour les jeunes qui ne sont pas à jour pour rembourser leurs prêts.