Lors du colloque d’Akfadou, les anciens maquisards présents à cette rencontre, ont tenu à rendre hommage aux femmes. Qu’il s’agisse de celles “qui étaient avec nous au maquis, en tant qu’infirmières, ou qui nous préparaient à manger dans les villages et qu’elles acheminaient ensuite au maquis, leur engagement nous a permis de tenir lorsque notamment le front intérieur était littéralement décimé par l’armée coloniale française. Sur les 12 000 maquisards que comptait la Wilaya III au début, il n’en restait que 4 000. C’est grâce à nos sœurs que l’on a pu tenir”, a-t-on reconnu.

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