“Les deux ascenseurs de chaque immeuble ne fonctionnent pas depuis plus de 3 ans ! Pas étonnant, quand il s’agit de cités ADDL”, informent, avec beaucoup de fatalisme, des occupants d’appartements en location-vente, à la cité des 204-Logements AADL.
Ni les plaintes déposées auprès des services compétents ni les incessants va-et-vient de ces citoyens qui n’en peuvent plus d’endurer une situation difficile en matière d’accès à leur chez-soi (gravir plusieurs étages de nombreuses fois par jour, une épreuve pour les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes et les malades chroniques) n’ont incité les responsables de l’administration de l’AADL à procéder à la réparation de ces ascenseurs. Le comble est que les locataires disent payer régulièrement les frais d’entretien des parties communes des immeubles. À quoi est utilisé cet argent, s’il ne sert pas ses objectifs initiaux ?