L’on apprend que la direction de Sonatrach a procédé au recrutement du fils d’un ministre occupant un département de souveraineté. Sans baccalauréat, ce fils du ministre est recruté parmi une trentaine d’autres à Tassili Airlines, comme pilote stagiaire. La même source évoque également le recrutement d’un jeune, fils d’un haut responsable, sans niveau requis au même poste. Exactement comme cela se fait au niveau de la compagnie nationale, Air Algérie, qui étouffe sous le poids de ces recrues “spéciales” non indispensables.
