Les disponibilités en produits agricoles et agroalimentaires en Algérie se sont multipliées par huit depuis l’indépendance nationale, alors que la population algérienne a augmenté de quatre fois plus en 50 ans, indique dimanche le ministère de l’Agriculture et du développement rural. En volume, les disponibilités alimentaires globales (production nationale/importations) ont été multipliées par huit entre 1962 et 2011, selon un document du ministère élaboré à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance nationale. Cette progression est calculée sur le nombre de calories par habitant et par jour ainsi que sur l’augmentation de la population algérienne depuis l’indépendance à ce jour. L’Algérie compte plus de 37 millions d’habitants actuellement. En apport calorique, « la disponibilité alimentaire a doublé, passant de 1.758 calories/jour et par habitant en 1964 à 3.500 calories/jour/habitant en 2011, la population ayant été multipliée par quatre durant cette période, la disponibilité alimentaire a été donc multipliée par huit », selon le document du ministère. Même si les niveaux diffèrent d’une filière à une autre, la production agricole nationale représente, en volume, 70% des disponibilités alimentaires du pays, le reste étant assuré par les programmes d’importation. Par produit, l’Algérien consomme actuellement 285 kg de blés par an (kg/ha/an), alors qu’il en prenait 132 kg/ha/an en 1964. Les céréales sont parmi les produits de base de l’alimentation algérienne. La consommation de produits maraîchers est passée de 54 kg/ha/an en 1964 à 156 actuellement dont celle de la pomme de terre dont l’Algérien consommait 22 kg/ha/an après l’indépendance et 106 kg/ha/an en 2011. Pour le lait, le nombre de litres par habitant et par an est passé de 30,1 litres en 1964 à 152 en 2011, selon le ministère. Pour les viandes rouges, la consommation actuelle est estimée à 13 kg/ha/an contre 3,8 kg/ha/an en 1964, alors que celle des viandes blanches s’affiche respectivement à 9 kg contre 1,6 kg. Concernant les rendements, l’Algérie a obtenu en moyenne 16,8 quintaux par hectare de céréales en 2011 contre 5,3 qx/ha en 1964. Pour les cultures maraîchères, le rendement à l’ha est passé à 222,1 qx contre 72,3 qx durant les premières années de l’indépendance. Le rendement de la pomme de terre a atteint 304,3 qx/ha en 2011 contre 70,2 qx/ha en 1964. Concernant la valeur des disponibilités alimentaires, l’Algérie importait pour 204 milliards DA et produisait l’équivalent de 492 milliards DA en 2000, soit 71% de ses besoins, selon des statistiques disponibles qui concernent seulement la période (2000-2012). En 2012, la valeur de la production nationale a atteint 2.223 milliards DA, soit 72% des disponibilités alimentaires, alors que la valeur des importations alimentaires a atteint 872 milliards DA. La production agricole nationale a connu un taux de croissance moyen de 3% par an en 1981 et 1990, de 3,2% entre 1991 et 2000 et de 7,3% entre 2001 et 2011. L’Algérie a eu pour préoccupation majeure constante, depuis l’indépendance, l’amélioration de la sécurité alimentaire à travers le développement de la production agricole et l’amélioration des conditions de vie des populations rurales. A travers la politique du renouveau agricole et rural, engagée depuis 2008 en plein crise alimentaire mondiale, l’Etat veut renforcer la sécurité alimentaire et réduire les importations afin de limiter les effets des fluctuations des prix des produits alimentaires de base sur le marché mondial.

Les disponibilités en produits agricoles et agroalimentaires en Algérie se sont multipliées par huit depuis l’indépendance nationale, alors que la population algérienne a augmenté de quatre fois plus en 50 ans, indique dimanche le ministère de l’Agriculture et du développement rural.  En volume, les disponibilités alimentaires globales (production nationale/importations) ont été multipliées par huit entre 1962 et 2011, selon un document du ministère élaboré à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance nationale.  Cette progression est calculée sur le nombre de calories par habitant et par jour ainsi que sur l’augmentation de la population algérienne depuis l’indépendance à ce jour. L’Algérie compte plus de 37 millions d’habitants actuellement.  En apport calorique, « la disponibilité alimentaire a doublé, passant de 1.758 calories/jour et par habitant en 1964 à 3.500 calories/jour/habitant en 2011, la population ayant été multipliée par quatre durant cette période, la disponibilité alimentaire a été donc multipliée par huit », selon le document du ministère.  Même si les niveaux diffèrent d’une filière à une autre, la production agricole nationale représente, en volume, 70% des disponibilités alimentaires du pays, le reste étant assuré par les programmes d’importation.  Par produit, l’Algérien consomme actuellement 285 kg de blés par an (kg/ha/an), alors qu’il en prenait 132 kg/ha/an en 1964. Les céréales sont parmi les produits de base de l’alimentation algérienne.  La consommation de produits maraîchers est passée de 54 kg/ha/an en 1964 à 156 actuellement dont celle de la pomme de terre dont l’Algérien consommait 22 kg/ha/an après l’indépendance et 106 kg/ha/an en 2011.  Pour le lait, le nombre de litres par habitant et par an est passé de 30,1 litres en 1964 à 152 en 2011, selon le ministère.  Pour les viandes rouges, la consommation actuelle est estimée à 13 kg/ha/an contre 3,8 kg/ha/an en 1964, alors que celle des viandes blanches s’affiche respectivement à 9 kg contre 1,6 kg.  Concernant les rendements, l’Algérie a obtenu en moyenne 16,8 quintaux par hectare de céréales en 2011 contre 5,3 qx/ha en 1964. Pour les cultures maraîchères, le rendement à l’ha est passé à 222,1 qx contre 72,3 qx durant les premières années de l’indépendance. Le rendement de la pomme de terre a atteint 304,3 qx/ha en 2011 contre 70,2 qx/ha en 1964.  Concernant la valeur des disponibilités alimentaires, l’Algérie importait pour 204 milliards DA et produisait l’équivalent de 492 milliards DA en 2000, soit 71% de ses besoins, selon des statistiques disponibles qui concernent seulement la période (2000-2012).  En 2012, la valeur de la production nationale a atteint 2.223 milliards DA, soit 72% des disponibilités alimentaires, alors que la valeur des importations alimentaires a atteint 872 milliards DA.  La production agricole nationale a connu un taux de croissance moyen de 3% par an en 1981 et 1990, de 3,2% entre 1991 et 2000 et de 7,3% entre 2001 et 2011.  L’Algérie a eu pour préoccupation majeure constante, depuis l’indépendance, l’amélioration de la sécurité alimentaire à travers le développement de la production agricole et l’amélioration des conditions de vie des populations rurales.  A travers la politique du renouveau agricole et rural, engagée depuis 2008 en plein crise alimentaire mondiale, l’Etat veut renforcer la sécurité alimentaire et réduire les importations afin de limiter les effets des fluctuations des prix des produits alimentaires de base sur le marché mondial.

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi, a annoncé samedi à Tindouf la mise en place d’une stratégie rationnelle pour la généralisation des infrastructures sportives et de jeunesse dans l’ensemble des communes et wilayas du sud du pays.

Lors d’une rencontre avec les représentants du mouvement associatif, de la société civile et des cadres locaux à l’issue de sa visite d’inspection d’une journée dans la wilaya de Tindouf, le ministre a précisé que cette stratégie mise en place par son secteur a pour objectif de rapprocher les infrastructures sportives et de jeunesse de tous les citoyens.

Une convention devrait être signée par le ministère de la Jeunesse et Air Algérie pour la réduction des prix des billets au profit des jeunes et des sportifs du sud du pays en vue de faciliter leur déplacement lors des manifestations sportives.

M. Tahmi a tenu à souligner que seuls les sports les plus populaires dans chaque wilaya bénéficieront du soutien et du financement de l’Etat, insistant sur la nécessité de prendre en charge les jeunes catégories.

Un plan adapté à chaque wilaya et daïra a été élaboré en prévision de la réalisation de ces infrastructures.

Durant cette rencontre, le ministre a écouté les préoccupations des représentants du mouvement associatif et de la société civile qui se sont articulées autour de l’encadrement, la formation et le manque d’infrastructures dans les régions éloignées.

Inspectant un certain nombre d’infrastructures dans la wilaya de Tindouf, le premier responsable du secteur a exprimé sa satisfaction quant à l’avancement des travaux.

Le ministre, qui était accompagné des autorités locales, a visité la maison de jeunes Menai Abdelkader, le projet de revêtement du stade El Kassabi en gazon artificiel et la maison de jeunes Beztami Redouane où il s’est enquis de certaines de ses activités.

Le ministre s’est également enquis des activités sportives au niveau de la piscine couverte semi-olympique Salah Boubnider et de l’office des entreprises de jeunes. Il a en outre inspecté un projet de réalisation d’un centre d’informatique au quartier Ennasr et la salle omnisports Bentaleb Boufeldja.