L’Algérie va réceptionner les deux nouveaux stades de Douéra et de Tizi-Ouzou lors de l’année 2023. Par ailleurs, la date de l’entame des travaux de couverture des tribunes du stade 5 juillet n’a pas encore été fixée.
Lors de l’année écoulée, l’Algérie a réceptionné deux nouveaux stades aux normes mondiales. Il s’agit de Miloud Hadefi (Oran) et Nelson Mandela (Baraki). Lors de l’année en cours, notre pays va réceptionner deux autres « joyaux », à savoir le stade de Tizi-Ouzou et de Douéra.
Nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la date de la réception des deux stades en question. « Le stade de Douéra sera réceptionné le mois de septembre prochain. Quant au stade de Tizi-Ouzou, ce sera avant le mois de juin ». Révèle Maidi Tifour, directeur général des équipements publics au ministère de l’habitat, de l’urbanisme et de la ville.
Il est à rappeler que nous avons déjà rapporté que le nouveau stade de Tizi-Ouzou devrait être inauguré le mois d’avril prochain. Le P/APC de Tizi-Ouzou, Ouahab Ait-Menguellat a déjà révélé que le stade sera baptisé Hocine Ait-Ahmed.
Couverture des tribunes du stade 5 juillet : Qu’en est-il du dossier ?
Il y a quelques mois, le ministre de l’habitat de l’urbanisme et de la ville, Mohamed-Tarek Belarbi, a révélé que les tribunes du stade 5 juillet 1962 (Alger) seront couvertes. Mais jusqu’au moment où nous mettons sous presse, la date de l’entame des travaux n’a pas encore été divulguée.
« Les tribunes du stade 5 juillet seront bel et bien couvertes. Le stade connaitra également des travaux de modernisation. Mais le date de l’entame des travaux n’a pas encore été fixée. Et pour cause, on a annulé le premier appel d’offres. Une autre sera bientôt lancé afin de choisir la société qui se chargera des travaux. Le stade juillet sera d’une capacité de 80.000 places après la fin des travaux ». A expliqué le cadre au ministère de l’habitat.
Enfin, Maidi Tifour conclut : « Le président de la république a déjà annoncé la construction de deux nouveaux stades à Ouargla et à Béchar. Mais pour le moment, il n’y a rien de concret ».