Les centimes n’ont jamais disparu

Les centimes n’ont jamais disparu
Quand elle devient rare, la petite monnaie très nécessaire au citoyen perturbe les petites transactions routinières, comme, prendre le taxi par exemple, monter dans le bus, acheter du pain, …. Sa rareté, pourrait causer des désagréments entre les personnes au niveau de certains commerces, moyens de transport, et autres services…. L’histoire de la monnaie est aussi longue que le commerce et les transactions, puisqu’elle est une condition essentielle de l’activité économique, financière, commerciale. Celle-ci est très importante pour assurer le bon fonctionnement d’une petite économie commerciale, entre citoyens (marchands de fruits et légumes, détaillants en alimentation, petits clients…). Mais, quand les toutes petites pièces de (1 centime, 20 centimes, 50 centimes, 1 dinar….) sont en voie de disparition, c’est tout un autre problème. Pour les catégories sociales précaires, ce manque ‘’désagrémente’’ le bien-être collectif de chacun, affaiblissant de plus en plus le faible budget familial des sociétés sans revenu, d’où la question de son impact réel sur le budget du citoyen pauvre et précaire?’’  Combien coûte en réalité la baguette de pain, 7,50 dinars, 8 dinars, 8,50 dinars ? Encore une question qui parait assez pertinente pour le citoyen qui semble ignorer le prix réel de cet aliment de base et de première nécessité, fort heureusement  subventionné par l’Etat, et  qu’il achète 10 dinars l’unité. Un achat quotidien, où la différence en petite monnaie à rembourser au client est totalement perdue quand la baguette de pain coute moins de 10 dinars. Ce manque de monnaie simplifierait de beaucoup les petites transactions, cela permettrait l’arrondissement des prix, une opération arithmétique facile qui soulage les uns, mais contrarie les autres. A bien raisonner, les centimes n’ont jamais disparu, elles existent bien du moment que dans les paiements par chèque, les prix au centime sont maintenus…, et c’est une réalité tout à fait palpable.  Pour les jeunes qui n’ont pas eu l’occasion d’utiliser ces petites pièces en ne connaissant probablement pas leur valeur, ils considèrent leur disparité comme étant la fin d’une époque.  Quand elle devient rare, la petite monnaie très nécessaire au citoyen perturbe les petites transactions routinières, comme, prendre le taxi par exemple, monter dans le bus, acheter du pain, …. Sa rareté, pourrait causer des désagréments entre les personnes au niveau de certains commerces, moyens de transport, et autres services…. L’histoire de la monnaie est aussi longue que le commerce et les transactions, puisqu’elle est une condition essentielle de l’activité économique, financière, commerciale. Celle-ci est très importante pour assurer le bon fonctionnement d’une petite économie commerciale, entre citoyens (marchands de fruits et légumes, détaillants en alimentation, petits clients…). Mais, quand les toutes petites pièces de (1 centime, 20 centimes, 50 centimes, 1 dinar….) sont en voie de disparition, c’est tout un autre problème. Pour les catégories sociales précaires, ce manque ‘’désagrémente’’ le bien-être collectif de chacun, affaiblissant de plus en plus le faible budget familial des sociétés sans revenu, d’où la question de son impact réel sur le budget du citoyen pauvre et précaire?’’  Combien coûte en réalité la baguette de pain, 7,50 dinars, 8 dinars, 8,50 dinars ? Encore une question qui parait assez pertinente pour le citoyen qui semble ignorer le prix réel de cet aliment de base et de première nécessité, fort heureusement  subventionné par l’Etat, et  qu’il achète 10 dinars l’unité. Un achat quotidien, où la différence en petite monnaie à rembourser au client est totalement perdue quand la baguette de pain coute moins de 10 dinars. Ce manque de monnaie simplifierait de beaucoup les petites transactions, cela permettrait l’arrondissement des prix, une opération arithmétique facile qui soulage les uns, mais contrarie les autres. A bien raisonner, les centimes n’ont jamais disparu, elles existent bien du moment que dans les paiements par chèque, les prix au centime sont maintenus…, et c’est une réalité tout à fait palpable.  Pour les jeunes qui n’ont pas eu l’occasion d’utiliser ces petites pièces en ne connaissant probablement pas leur valeur, ils considèrent leur disparité comme étant la fin d’une époque.
Benyahia Adda