Les bureaux de wilaya habilités à participer aux prochaines élections locales avec des listes MSP ou au sein de l’AAV (Soltani)

Les bureaux de wilaya habilités à participer aux prochaines élections locales avec des listes MSP ou au sein de l’AAV (Soltani)

Les bureaux de wilaya habilités à participer auxprochaines élections locales avec des listes MSP ou au sein de l’AAV (Soltani)

M. Soltani a précisé dans une allocution d’ouverture d’une conférence à Alger que son mouvement « est fin prêt » àparticiper aux prochaines élections locales prévues le 29 novembre, précisant qu’il « peut se retirer de cette échéance s’il y a des dépassements ».



M. Soltani a salué les militants du mouvement qui sont restés au sein du parti notamment « en cette conjoncture difficile », tout en regrettant que d’autres membres « aient rompu leurs engagement en acceptant de participer augouvernement après que le MSP ait annoncé sa non-participation ».

M. Soltani a affirmé de nouveau que son parti « désavoue les membres qui ont accepté de participer augouvernement et les dissidents du mouvement qui ont rejoint d’autres partis », précisant que les structures compétentes de son parti « prendront les mesures nécessaires ».

Il a ajouté que le retrait de certains dirigeants du mouvement « n’aura aucune incidence sur le parti car le MSP, a-t-il rappelé, a gagné en maturité et a su préserver sa cohérence à la première crise qu’il a vécue avec la disparition de Cheikh Mahfoudh Nahnah ».

Il a en outre indiqué que lors de sa dernière tournée dans 20 wilayas, la base partisane du mouvement « n’a pas été affectée par la décision de retrait de ces dirigeants qu’elle considère plutôt comme une opportunité qui a permis l’émergence de jeunes compétences ».

Le leader du MSP a estimé par ailleurs que « le gouvernement technocrate actuel n’est autre qu’un gouvernementchargé d’expédier les affaires courantes et ne peut prendre des décisions politiques décisives dans l’intérêt du pays ».

M. Soltani a appelé à « l’ouverture d’un débat sur la constitution et la nature du régime en Algérie » soulignant que son parti reste convaincu que le régime parlementaire était « le plus indiqué en Algérie et que le régime présidentiel et semi-présidentiel est révolu avec la fin de l’état d’urgence et de la crise sécuritaire dans le pays ».