Les AE américaines dénoncent la répression des libertés pour des raisons sécuritaires et la dépendance de la justice

Les AE américaines dénoncent la répression des libertés pour des raisons sécuritaires et la dépendance de la justice
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Les affaires étrangères américaines ont dressé un rapport négatif sur les Droits de l’Homme en Algérie pour l’année 2010. elles ont dénoncé ce qu’elles ont qualifié d’utilisation de moyens interdits par les forces de l’ordre algériennes pour obtenir des aveux de personnes soupçonnées de terrorisme. Elles ont également blâmé dans leur rapport l’institution judiciaire algérienne et l’ont qualifiée de dépendance et soumise à des ordres ».

Toutefois, les affaires étrangères américaines ont noté les bonnes intentions du régime algérien à associer la femme algérienne dans la vie politique.

Pour ce qui est des Droits de l’Homme en Algérie pour l’année 2010, les AE américaines ont noté que les forces de l’ordre ont eu recours à des méthodes inappropriées pour obtenir des aveux, notamment, dans les affaires relatives au terrorisme. Elles ont, également, noté une contradiction dans les réglementations algériennes que ce soit sur le plan local ou international. Dans ce cadre, elles ont noté que ces pratiques sont interdites par la réglementation algériennes mais qu’elles existent, cependant, sur le terrain.

Les Affaires Étrangères Américaines ont critiqué, dans leur rapport, ce qu’elles ont qualifié de « mauvais traitement des prisonniers ». Elles ont, notamment, dressé un bilan noir pour ce qui est de la liberté de la presse et de la liberté d’expression. Elles ont noté que cette réalité est en contradiction avec les textes des conventions internationales garantissant les libertés individuelles et collectives.