Lendemains d’attentats

Lendemains d’attentats
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Tunisie : il y a eu défaillance sécuritaire reconnaissent les autorités 

Koweït : le kamikaze était un Saoudien



France : le terroriste avait envoyé un selfie avec la tête de sa victime

Plus de vingt-quatre heures après les attentats terroristes qui ont frappé la Tunisie, la France et le Koweït notamment, la stupeur et l’effroi ont laissé place à l’analyse des faits et à la prise de mesures. Il y aura d’autres attentats, d’autres crimes aussi aveugles que ceux qui ont frappé la station de Sousse, une mosquée au Koweït, l’usine de gaz en France ou en Somalie. Pour beaucoup de dirigeants, c’est une certitude. Ce matin, le Premier ministre français a réaffirmé que «des menaces continuaient de planer sur la France au niveau très élevé. Nous vivons sous une menace terroriste majeure, dans la durée. L’ennemi, c’est le terrorisme, la babarie qui se dissimule… Ce n’est pas une guerre entre l’Occident et l’islam, mais au delà, sur nos valeurs. Cette menace sera constante au niveau très élevé et constante dans le temps. Il faut s’attendre à une volonté des terroristes de s’attaquer au monde». Hier, Manuel Valls avait averti : la question n’est pas de savoir s’il y aura un nouvel attentat mais quand ?

Pour sa part, le gouvernement britannique a estimé que d’autres attaques terroristes en Tunisie sont possibles, y compris dans les zones touristiques, toujours par des individus inconnus des autorités et dont les actions sont inspirées par des groupes terroristes via les réseaux sociaux.