En appelant récemment au retour des étudiants algériens qui ont quitté l’Egypte, le ministre égyptien de l’Enseignement supérieur n’a finalement fait qu’accéder à la demande des universités de son pays qui n’ont pas apprécié le fait de perdre un pactole évalué à 60 millions de dollars.
En plus de cette perte sèche engendrée par le départ précipité des étudiants algériens, les autorités égyptiennes enregistrent d’autres manques à gagner, notamment dans le domaine touristique avec l’abandon de la destination par les Algériens, notamment à partir de l’Europe, pour des raisons de sécurité.