Quatre vingt quatre (84) candidates sont portées sur les 33 listes de formations politiques et six (6) listes indépendantes pour les législatives du 10 mai prochain dans la wilaya de Ghardaïa, a-t-on appris jeudi auprès du Directeur de la réglementation et des affaires générales (DRAG).
La représentativité de la femme pour les législatives prochaines est « en nette progression » dans cette wilaya qualifiée de « conservatrice », a indiqué M. El Hadj Chouikh précisant qu’une femme de la localité d’El-Menea, au sud du chef lieu de wilaya, est en tête d’une liste partisane.
Sur l’ensemble des femmes portées sur les listes de candidatures présentées dans la wilaya de Ghardaïa par les différentes formations politiques et les listes indépendantes, en prévision du scrutin législatif du 10 mai, plus de la moitié ont un niveau universitaire, a-t-on souligné.
En prévision de la campagne électorale qui débutera le 15 avril, 248 sites d’affichage et 295 espaces devant servir de cadres aux différents meetings et rencontres ont été réservés pour les candidats à travers les 13 communes de la wilaya.
Un tirage au sort portant numérotation de chaque liste électorale ainsi que la réservation des espaces pour les meetings a été effectué, en présence de l’ensemble des représentants des candidats, des membres de la commission locale de surveillance des élections législatives du 10 mai 2012, ainsi qu’en présence des représentants de l’administration. Un tirage au sort sur la tranche horaire de passage des candidats à la radio locale de Ghardaïa est également prévu.
Trente-neuf (39) listes de candidatures aux prochaines législatives (33 formations politiques et 6 listes indépendantes) seront en compétition pour briguer les cinq sièges de représentativité de la wilaya de Ghardaïa à l’Assemblée populaire nationale (APN).
La wilaya de Ghardaïa compte 195.982 électeurs et électrices, dont 6301 nouveaux inscrits, à l’issue de la révision exceptionnelle des listes électorales, qui avait donné lieu aussi à 2.128 radiations pour divers motifs.
Les mesures de plus en plus sévères prises par le gouvernement Cameron, ne semblent pas encore avoir porté leurs fruits: en l’espace d’un an, de juin 2010 à juin 2011, le nombre de migrants entrés au Royaume Uni s’est élevé à 250.000, a souligné récemment l’ONS.
Mercredi, le Comité parlementaire chargé des affaires intérieures a affirmé que l’agence britannique des contrôles aux frontières (UKBA) ne parvenait pas à s’acquitter de ses tâches élémentaires.
En fournissant des chiffres inexactes liés à l’immigration, la UKBA risque d’affecter la confiance du public dans le gouvernement, ont mis en garde les députés. Le Comité a critiqué l’agence pour avoir fourni des données « peu claires » et difficiles à suivre.
« Il est difficile de voir ce qui se passe en matière d’immigration si l’agence ne peut pas être précise dans les informations qu’elle fournies au Comité », a souligné le rapport parlemenataire, mettant en exergue « l’échec » de l’agence UKBA de contrôler et de reconduire aux frontières les immigrés clandestins et les étrangers dont les visas ont expiré La côte de popularité de David Cameron a chuté à son plus bas niveau depuis son élection en mai 2010, a montré fin mars un sondage YouGov.
L’impopularité de Cameron s’est accrue au cours de ces semaines marquées par des « gaffes politiques », notamment le scandale du financement du parti Conservateur, note YouGov.
30% seulement des électeurs pensent aujourd’hui que Cameron est le meilleur Premier ministre par rapport aux leaders des autres grandes formations politiques.