Comme annoncé par Algérie1, le wali d’Alger a confirmé qu’un grand hôpital, d’une capacité de 800 lits, sera construit à Alger suite à des s instructions du président Bouteflika. Actuellement le projet est au niveau des études techniques et du choix de l’assiette de terrain, a ajouté le wali. Ce dernier a fait cette déclaration dimanche son bilan, lors d’une session ordinaire la l’APW d’Alger.
Tout au long de son intervention Addou Mohamed Kebbir a passé en revue les multiples réalisations de la capitale. Et d’abord le secteur scolaire avec l’ouverture de 4 nouveaux lycées, 10 CEM et pas moins de 48 groupes scolaires et 23 cantines scolaires. En rapport avec l’enseignement, le wali soulignera surtout l’achèvement des travaux des deux facultés de médecine à Château neuf et de droit à Said Hamdine. Deux fleurons qui sont selon lui « une fierté pour la capitale ». Dans une première phase, ces deux nouvelles universités accueilleront respectivement 2.000 et 4.000 étudiants.
Au sujet de la baie d’Alger, un chantier dont les algérois attendent la livraison, le wali a expliqué que les travaux sont quasiment achevés, mais que la décision est prise d’attendre la fin des travaux du projet de Oued El Harrach, pour une même inauguration. Il a été convenu avec l’entreprise nationale Méditram de ne pas livrer le projet des Sablettes jusqu’à ce que celui de l’Oued El Harrach, pris en charge par la société coréenne, soit avancé et en faire du coup un seul projet » dira la wali d’Alger qui déplorera le retard aussi dans la réalisation des kiosques qui font partie du projet dont la livraison est prévue pour la fin de l’année.
Il annoncera aussi l’ouverture prochaine de 12 marchés de proximité sur les 17 qui sont au programme. Mohamed Kebbir regrettera cependant le fait de ne pas pouvoir mener à son terme la réhabilitation de sept boulevards de la capitale, faute d’entreprises locales qualifiées.
S’agissant de l’opération de distribution de logements, il dira que 20.000 sont déjà prêts. Reste selon lui quelques problèmes liés aux branchement d’eau et de gaz. Car explique t-il « Il n’est pas question que les résidents soient obligés de mettre des bottes pour rentrer et sortir de chez eux ».