“L’Algérie a fourni des efforts considérables pour développer le secteur de la santé, mais la mauvaise gestion demeure le maillon faible qui entrave une bonne qualité des services offerts aux usagers de la santé”, a relevé le président de la Commission nationale consultative de promotion et de la protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini.
Me Farouk Ksentini a souligné que l’Algérie est “un pays colonisé par la bureaucratie” tout en plaidant pour l’urgence de libérer les initiatives” pour “faire barrage” à ce fléau et pour le “bon fonctionnement” du secteur de la santé.
Ksentini a estimé qu’il était pour que les “choses s’améliorent” et soient “assainies” afin que le citoyen “bénéficie de son droit à la santé”, qu’il qualifie de “droit fondamental”.
Pour le président de la CNCPPDH, “il n’y a aucune raison pour que les choses ne s’améliorent pas”, tout en insistant sur les compétences “avérées” dont regorge le personnel médical en Algérie et qu’il convient de “fructifier”.
