Le RND annonce sa participation au nouveau gouvernement

Le RND annonce sa participation au nouveau gouvernement

Aujourd’hui samedi, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) , Tayeb Zitouni, a annoncé la participation de son parti au nouveau gouvernement. Zitouni a déclaré que son parti n’abandonnera pas l’invitation du président à participer au nouveau gouvernement, soulignant que son parti a les  compétences nécessaires et présentera des projets ainsi que des solutions pour tenter de sortir de la crise.

Zitouni a déclaré : « Nous soutiendrons et accompagnerons le prochain gouvernement, mais sans déviation, car le rassemblement  nationale démocratique (RND) sera du côté du peuple. » Zitouni a également félicité Aïmene Benabderahmane pour sa nomination au poste de Premier ministre, et espère  que le gouvernement répondra au niveau des aspirations économiques.

Tayeb Zitouni a ajouté : « Nous avons senti chez le président de la République une intention sincère de pérenniser une vraie réforme.

Concernant les récentes élections législatives, le Secrétaire général du RND a révélé que “certaines actions isolées” dans certaines wilayas qui ont affecté les résultats des élections du parti. D’autre part, Zitouni a souligné que la position du parti reste inchangée et s’aligne avec le gouvernement notamment en ce qui concerne causes sahraouie et palestinienne.

Le MSP ne participera pas au gouvernement

Abderrezak Makri, chef du MSP , a déclaré que le mouvement a refusé d’entrer au gouvernement en raison de plusieurs circonstances, principalement le boycott des élections, affirmant que le majorité les électeurs n’on pas participé au scrutin, de le fraude, et aussi à cause de le situation de crise que le pays connaît.

L’autre raison qui a motivé le décision de la non-participation de MSP au prochain gouvernement est  le nombre de postes ministériels,  proposés au mouvement estimé insuffisant, déclarant dans ce sillage, “ ce qui nous a été offert ne permet pas au mouvement d’influencer la scène politique en algérie “.

D’autre part le chef de le formation politique a évoqué la fraude lors les dernières élections, affirmant » « la fraude a empêché le mouvement d’atteindre une majorité. il s’agit d’une double fraude, celle des forces politiques et des partis à travers le vol de boîtes, et d’autre part, la fraude centrale derrière lequelle se trouvent les restes de le bande (3issaba) qui refuse au mouvement d’accéder au pouvoir. et c’est ce que nous avons dit au président de le république ».