Le Président Bouteflika : « L’Etat fermement déterminé à protéger l’économie nationale »

Le Président Bouteflika : « L’Etat fermement déterminé à protéger l’économie nationale »

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a souligné, mardi, la détermination de l’Etat à « protéger l’économie nationale des pratiques parasitaires et de la fraude ».

Dans un message adressé aux travailleurs algériens à l’occasion du double anniversaire de la création de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et de la nationalisation des hydrocarbures, le président Bouteflika a affirmé que « l’Etat demeure fermement déterminé à protéger l’économie nationale.

Il a, à cet effet, mis en place les cadres juridiques et les mécanismes de prévention contre les pratiques parasitaires et la fraude ». « La lutte contre la corruption sous toutes ses formes se poursuivra dans le cadre de la loi qui s’inscrit, elle même, en droite ligne des conventions et traités internationaux y afférents et dont l’Algérie compte parmi les premiers signataires », a-t-il souligné.

Dans ce contexte, le président de la République a indiqué que « la lutte contre la corruption qui est au cœur de l’action de l’Etat commence par la consolidation du rôle des instances de contrôle à tous les niveaux et dans tous les domaines » ajoutant que l’Etat « a consacré d’importants moyens tant matériels qu’humains pour renforcer le rôle des instances de contrôle et moderniser leurs moyens d’intervention ».

Pour le Chef de l’Etat, « la question nécessite un engagement ferme et sans ambages de tous les travailleurs du secteur économique en vue de conférer l’efficacité et l’efficience nécessaires à l’action de ces instances et mieux coordonner les efforts, car le fléau de corruption est de nature à saper tout effort de développement ».

« Dans le prolongement de ces mesures législatives et institutionnelles, le Gouvernement a intensifié ses activités de lutte contre la corruption à travers le soutien aux structures spécialisées et la création d’une nouvelle instance, à savoir l’Office central de répression de la corruption en tant qu’outil pratique chargé de coordonner les efforts déployés à cet effet », conclut le président de la République.