Aux quatre coins du pays, l’hiver étale sa rudesse et fait se geler les chaumières. Des zones enclavées s’enfoncent plus dans leur isolement et des populations hibernent forcées dans leur retranchement de toute vie alentour.1
L’épisode tristement réel de la saison hivernale 2012 brigue le spectre du froid en ces journées particulièrement froides. Mais à toute mauvaise surprise, les populations locales se sont parées à temps avec un approvisionnement en gaz butane, avec la complicité du distributeur qui a pris ses devants en alimentant les communes les plus reculées des zones montagneuses de la Kabylie, des Aurès et même des villes côtières. Un échantillon de ce programme que Naftal a pris en charge dans des contrées lointaines de Tipasa, Tizi Ouzou, Oran, Tlemcen et Constantine. De là où nos correspondants nous ont câblés à l’épreuve du terrain. Dans la ville des Genêts, par exemple, le gaz de ville a pu s’introduire et arriver sur les cimes enneigées, ce qui va aider les foyers à se réchauffer. A Oran, il n’est enregistré aucune tension, alors qu’à Tlemcen, il reste toujours à pourvoir des villages mal lotis qui se voient contraints de recourir au bon vieux « kanoun », pendant qu’à Constantine, il est même une pensée pour les occupants des habitations illicites qui se voient alimentés en gaz butane, de même que Tipasa, où tout comme dans la vieille Cirta ou à El Bahia, Naftal affirme honorer ses engagements. C’est ce qu’affirme d’ailleurs la direction pour tout le pays.
S. A.