Le parlement français se mêle des événements de Ghardaïa

Le parlement français se mêle des événements de Ghardaïa

L’assemblée nationale française s’est mêlée des événements de Ghardaïa en remuant l’affaire de l’activiste Kamel Eddine Fekhar arrêté suite à ces événements ayant éclaté en 2015.

L’assemblée nationale française a appelé son gouvernement à intervenir et d’expliquer sa démarche à entreprendre dans le cadre de cette même affaire.

Dans une question écrite, le député socialiste Erwann Bineta tenu à attirer l’attention du ministre français des affaires étrangères et du développement international, Jean-Marque Ayrault sur le fait que Kamel Eddine Fekhar  -arrêté le 9 juillet 2015- par les autorités algériennes se trouve toujours en détention.

Le député socialiste a souligné également que le gouvernement algérien s’était pourtant engagé à ratifier les conventions internationales relatives aux droits de l’homme, le respect des libertés collectives et individuelles, indiquant par là-même que Fekhar se trouve encore derrière les barreaux bien qu’il ait dénoncé les circonstances de son arrestation et les faits qui lui sont reprochés.

Erwann Bineta a demandé au Quai d’Orsay d’expliquer ce qu’il comptait faire vis-à-vis de cette affaire, prétendant qu’un comité de soutien ait été créé pour aviser les instances internationales sur la situation de Fekhar.